1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°781)


    Datte: 19/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... les catins lorsque les Dominants déjeunent ? Là, je ne sais que répondre. Je reçois une paire de gifles sur les joues d’une volée fulgurante. Le garde tire sur mes pinces. Je grimace, mais me mets à bander illico… - Les putains comme toi passent sous la table, et vont honorer, stimuler et exciter Celles et Ceux qui en ont besoin ou envie. Tu as intérêt esclave Endymion MDE de bien faire ta pute… Je suis poussé brutalement sous la table, trébuche et m’affale de tout mon long, sans pouvoir fatalement me retenir. Une chaussure se pose immédiatement sur mon visage, un talon aiguille creuse ma joue. La nappe se soulève, une main s’agrippe à ma chevelure. Tant bien que mal je me redresse, me voilà entre deux cuisses, deux cuisses fuselées, musclées et ambrées. Le tissu de la robe se soulève, me dévoilant une belle intimité de femme au sexe épilé et parfumé. Une main appuie sur ma nuque, je me mets à l’ouvrage. Celle que je lèche ne bouge pas, ne frémit pas. Elle semble insensible à mes caresses, pourtant je mets du cœur à l’ouvrage. Je pénètre ces lèvres tièdes sans la moindre trace d’humidité, je caresse du bout de ma langue ce clitoris quelque peu tendu… Mais rien n’y fait… je m’inquiète et me demande si je fais bien mon travail. A moins qu’il ne s’agisse d’une Dominante frigide ? Ma langue s’introduit encore, à la recherche de quelques gouttes de cyprine. Rien, toujours rien, ce vagin est sec, la source semble tarie… Quand tout d’un coup, tout se précipite, je suis sorti de ...
    ... dessous de la table, tiré par les cheveux et avance difficilement à genoux. Je suis entrainé au centre de la grande salle de réception sans ménagement. La Dominante me laisse là, part et revient avec une cravache en main. J’ai un mouvement de recul. Elle sourit avec perversité dans son regard à ma réaction : - Je te fais vraiment peur on dirait ! Dans un souffle court, je lui réponds - Oui Madame… - C’est bien, un esclave craintif est un esclave créatif. Sans préavis, elle me donne un coup de cravache, pas très fort mais je ne peux m’empêcher de gémir. Elle se met franchement à rire et commence à m’asticoter de coups de cravache, me frappant ou pas au dernier moment. Mes mouvements de recul semblent beaucoup l’amuser. Enfin elle s’arrête et me regarde avec un air étrange. Je n’arrive pas à déterminer ce que je vois dans son regard… De l’intérêt ? Du sadisme ? De la tendresse ? Peut-être un peu tout mais c’est indéfinissable. Elle entreprend alors de me donner des ordres. - A debout… A genoux… Présente-moi ton cul… ouvre la bouche… Lève une jambe… A genoux… Plus vite ! Chaque ordre laconique cingle et s’il n’est pas immédiatement exécuté, il est puni d’un coup de cravache qui n’a plus rien de modéré, me tirant parfois des plaintes. Je termine au bout d’une dizaine de minutes tout essoufflé, le corps zébré de marques rouges. Mais cette situation m’excite au plus haut point et je ne peux cacher mon érection avec ma bite droite regardant le zénith. Ma verge est gorgée de sang, ...