Gonzo, vous avez dit gonzo ?
Datte: 19/08/2021,
Catégories:
fh,
nympho,
grossexe,
grosseins,
hépilé,
fépilée,
ffontaine,
entreseins,
facial,
Oral
fist,
pénétratio,
fsodo,
exercice,
totalsexe,
On sonne. Elle va ouvrir, vêtue de son petit peignoir lui arrivant à mi-cuisses, entrebâillé sur ses gros seins. Un rêve d’homme, cette poitrine : deux gros melons séparés par une sombre vallée, des aréoles larges comme des soucoupes, des pointes érigées. Il entre, claque la porte, l’attrape et la colle au mur. Le baiser est vorace, violent, les dents s’entrechoquent, les langues se heurtent, la salive coule. Son peignoir vole à travers la pièce, lemarcel et le jean suivent. Elle se tourne, prend appui contre le mur. Elle offre son cul, large, rond, soutenu par une cambrure incroyable, d’une indécence rare. Il bande comme un âne. Il s’agenouille derrière elle et enfouit son visage entre ses jambes. Elle lui facilite l’accès en pognant ses fesses et en les ouvrant. L’anus palpite, petite étoile entrouverte, dépourvue de poils. La langue lèche largement, et pointe immédiatement sur la cible, s’y insinue sans manière. Elle halète, se contorsionne, s’écartèle encore un peu plus, recule son cul pour s’empaler sur cet appendice visqueux et indiscret. Les doigts de l’homme se sont glissés entre les jambes, et ont pris possession du sexe désormais béant. Ils glissent sur les lèvres brillantes et s’enfournent dans le vagin. Deux, puis trois, et maintenant quatre. Ils clapotent, elle coule. L’odeur est forte, intense. Il pousse un peu plus, le pouce se glisse dans la chatte écartelée. Elle hurle, un flot de mouille fuse du sexe distendu. Elle vibre, hurle encore, ses jambes ...
... fléchissent. Le clapot, un jet de mouille, encore, et la langue qui darde dans le fondement. Elle s’effondre sur le sol, expulsant la main gluante. Il se redresse, l’attrape sous les genoux et les épaules, l’allonge sur le dos, sur la table. Elle gît, inerte, la tête pendante. Il approche sa queue de la bouche entrouverte. Elle ouvre les yeux, sourit, sort la langue et lèche le gland, titille le méat. La bite se fait plus pressante, la bouche s’ouvre, il s’enfonce, encore, plus loin. Elle creuse les joues, réprime un haut-le-cœur, pose ses mains sur les cuisses pour le freiner. Il recule légèrement, elle a les larmes aux yeux. Vaillante, elle engloutit à nouveau cette matraque. Il lui baise la bouche, longuement, intégralement, sans répit, sans pitié. La gorge se déforme sous l’avancée du chibre disproportionné, les ongles se plantent dans les cuisses de l’homme, qui serre les fesses, se plantant encore plus loin, encore plus profond. Il sort, son sexe dégouline de salive, un filet de bave s’étire entre la bouche et le gland, la bouche brille, le rouge à lèvres s’étale autour. Elle rampe sur la table, lèche les couilles pendantes, en aspire une, puis glisse lentement plus en arrière. La langue furète, s’attarde, avant de lécher longuement, largement, l’anus contracté. Elle pointe désormais, exaspère le petit orifice, se fait insistante. Il s’ouvre, elle s’introduit ; les ongles griffent les fesses, il aboie ! Il la tourne sans ménagement, sa langue vient brièvement lécher les lèvres ...