1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°754)


    Datte: 19/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... trouve le cercueil de Louis-Alexandre d’Evans… Les trois jours sont passés sans aucunes autres apparitions ne se soient manifestées. Monsieur le Marquis Edouard d’Evans a essayé de passer ces trois journées via ses occupations habituelles mais aussi en lisant chaque soir plusieurs autres récits, tous aussi croustillants en Domination/soumission les uns que les autres, contenus dans le journal intime de la comtesse du Dranier. Dans sa lecture, il est maintenant arrivé au premier novembre 1914, jour de la Toussaints… Mais pour l’heure, c’est enfin la soirée qui précède sa visite au caveau de son aïeul dans la crypte de la Chapelle. Le Noble est bien décidé à aller voir à minuit précis, s’il se passe quelque chose, si son feu ancêtre va apparaitre ! Mais en attendant que les douze coups sonnent et afin de soulager sa patience, il se replonge de nouveau à sa lecture : ‘‘Premier novembre 1914, c’est le jour de la Toussaints. Mon mari n’a pas pu obtenir une permission pour l’occasion, il est toujours à la guerre depuis trois mois qu’elle a débuté. Après les longues vêpres à l’église et la procession jusqu’au cimetière du village dans d’interminables prières en latin, je me rends enfin, avec Clara, au Château, obéissant ainsi à l’exigence du Maître, qui a exigé de nous avoir à Ses pieds en ce jour de Toussaints. Sortant du cimetière, nous sommes toujours habillées toutes en noir de la tête aux pieds, afin de marquer ce jour en mémoire de nos défunts et de ne pas éveiller les ...
    ... regards des bigotes de bénitiers du village. Mais ce que celles-ci ne savent pas, c’est notre totale nudité sous nos sombres et longues robes noires… Quand nous sommes arrivées dans la cour intérieure du Château à l’abri des regards extérieurs de la Propriété, nous nous dénudons comme à l’accoutumé, laissant nos robes sous un petit abri tuilé et prévu à cet effet, abri ressemblant à une large guérite et placé juste contre le mur intérieur de la grille du Château. Une véritable agitation dans la cour montre combien on s’active. Des esclaves nus portent des victuailles et denrées de toutes sortes en direction de la Bâtisse. Clara et moi, nous suivons quelques esclaves en direction du Château et à peine entrées dans le grand hall, en quadrupédie comme cela est toujours exigé par le Maître, nous voyons des présences auxquelles nous ne nous attendions pas ! En effet, sur le côté gauche, une bonne dizaine de soldats français, en uniforme et en permission revenant du front, se trouvent tout autour de Monsieur le Marquis Louis-Alexandre… Au centre de ce grand hall d’entrée, ont été installées deux roues à l’horizontal posées sur un petit axe vertical. Des courtes cordes pendent ci-et-là sur chacune des roues et on peut apercevoir des lanières en cuir... - Ah, voici mes deux chiennes que je vous ai parlées ! … Mon vieil ami, le colonel Bigardon, vous a signé votre permission, à vous les 10 soldats célibataires de son unité, et il vous a envoyé ici au Château afin de vous récompenser de vos ...
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