1. Natasha & Franck (18)


    Datte: 20/08/2021, Catégories: Transexuels

    En lisant ce chapitre vous pouvez écouter cette liste de chansons : Elton John : Song for Guy ; Rod Stewart : The first cut is the deepest et Handbags and gladrags ; Tori Amos : Angie (reprise des Rolling Stones) ; Neil Young : Like a hurricane (MTV Unplugged version) ; Led Zeppelin : Stairway to heaven ; Pink Floyd : Confortably numb ; Procol Harum : A whiter shade of pale ; Johnny Cash : Hurt (reprise de Nine Inch Nails) Dimitri se réveillait lentement. Il n’avait pas bu une goutte d’alcool, mais il avait du mal à se remémorer le déroulement de la soirée depuis qu’il avait été attaché sur la chaise. Il était allongé et pouvait bouger ses membres. Il ne voyait rien, il était dans le noir complet. Immobile, il laissait son cerveau redémarrer, un peu comme un reboot d’ordinateur. Son bras droit était ankylosé ; il devait être resté longtemps dans la même position. Contre son dos, il sentait la poitrine de Frédérique. Elle avait passé un bras autour de sa taille. Il n’osait pas bouger, de peur de la réveiller. Il tentait de se relever pour dégager son bras. Il sentait une légère douleur dans l’anus. Il réalisa que la secrétaire, harnachée d’un gode ceinture, dormait plantée en lui. Quelques bribes de souvenirs lui revenaient. Les deux femmes lui avaient ramoné le fion une grande partie de la nuit. Quand l’une œuvrait entre ses fesses, l’autre le gratifiait d’une fellation. Frédérique l’avait même branlé entre ses seins. Un régal ! Il n’avait pu contenir longtemps son bonheur ...
    ... et avait répandu ses giclées de sperme sur sa poitrine qu’il avait du ensuite nettoyer de sa langue. Rien qu’à y repenser, il se remettait à bander. Hélas, elles lui avaient remis la cage. Fini l’amusement ! Quelle heure pouvait-il être ? Les volets clos commençaient à laisser filtrer un peu de lumière. Pas de quoi éclairer la pièce cependant. Dehors les merles commençaient à chanter. Il devait être approximativement cinq heures. Dimitri se fiait à ses impressions, se remémorant les nombreuses fois où, après une nuit en boite ou chez des amis, il revenait chez lui au petit matin. Il avait toujours aimé ces moments précédant l’aurore et le chant matinal des oiseaux lui évoquait plus le bonheur d’aller se coucher que le réveil. A l’instant, Dimitri se serait bien levé, ses intestins se mettaient à protester et tentaient d’expulser l’intrus. Mais à chaque fois qu’il tentait de se dégager, Frédérique resserrait son étreinte, comme si un sixième sens la prévenait dans son sommeil. Automatiquement elle se rapprochait, s’enfonçant à nouveau dans son rectum. La journée s’annonçait ensoleillée. Il faisait déjà chaud, surtout pour lui qui avait passé son enfance en Normandie. Frédérique lui préparait un vrai petit-déjeuner, à l’anglaise, avec œufs et bacon et servi dans une assiette. Son dernier repas avait été un peu léger et il n’était pas question que Dimitri tombe d’inanition au boulot. Et puis il n’était pas question non plus de le traiter constamment comme elles l’avaient fait la ...
«1234...13»