1. Dévergondage de Suzanne


    Datte: 20/08/2021, Catégories: fh, fhh, 2couples, extraoffre, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, pénétratio, double, fdanus, champagne, tutu, entrecoup,

    ... d’un coup dans cette gaine chaude et serrée. Pendant quelques secondes, le temps semble s’être arrêté. Plus aucun de nous n’ose le moindre mouvement, profitant de cette accalmie pour prendre pleinement conscience de la situation et du plaisir égoïste que chacun en retire. Nos érections, ne font plus qu’une, scellées au fond de sa chatte, nos couilles flirtent indécentes, les unes contre les autres. Même Suzanne a retenu son souffle, les yeux écarquillés, la bouche ouverte, fascinée par le spectacle de son amie doublement embrochée. C’est moi qui prends l’initiative, je bascule notre trio sur le côté pour que toi aussi, tu puisses bouger. Je débute un petit va-et-vient qui peu à peu prend de l’ampleur. À ton tour, tu reprends vie et tentes de suivre le tempo. Enfin, Nathalie semble sortir de sa torpeur et reprend ses gémissements de plaisir. Les yeux fermés, elle t’embrasse à pleine bouche, ne s’interrompant que pour laisser émerger de ses lèvres de longs gémissements — Ho ! Oui ! c’est bon, doucement ! Toi et moi réussissons à nous synchroniser et donner de plus en plus d’ampleur à nos mouvements. Je sens ta queue coulisser contre la mienne. J’aime et toi ? — Tu aimes te faire défoncer la chatte par ces belles bites, lui dit Suzanne en caressant les seins de son amie.— Hum ! Ho ! c’est bon ! hum ! Encore. Oui, défoncez-moi, baisez-moi, j’en veux encore ! Nous avons maintenant bien pris la cadence, quand tu sors de sa chatte, c’est moi qui m’enfonce à fond et inversement. Nos ...
    ... mouvements de reins sont à présent amples et rapides et nous besognons notre partenaire commune avec un enthousiasme qui lui arrache des gémissements de plus en plus sonores. Le souffle de Nathalie est de plus en plus court. Ses cris restent étouffés au fond de sa gorge malgré sa bouche grande ouverte. Elle ne résiste pas longtemps à une formidable vague de chaleur qui l’envahit et ne lâche qu’un long « ouiiiii » quand tout son corps se crispe et se cambre, bloquant tous ses muscles, y compris respiratoires. Comprenant qu’elle est en plein orgasme, nous ralentissons nos mouvements, ne poursuivant que par petits coups de reins, pour lui permettre de savourer au maximum la déflagration hormonale qui la secoue alors que nous pouvons enfin vider nos couilles dans son con. — Oui, prends ton pied, jouis, jouis fort. Profites-en, l’encourage Suzanne qui lui caresse le ventre et les seins en même temps. René, donne-lui ton jus, François, toi aussi gicle ton foutre… Oh ! je jouis de vous voir jouir ! Nathalie ne peut qu’acquiescer de la tête, la bouche grande ouverte, cherchant l’air qui ne pénètre plus dans ses poumons. Tu as cessé tout mouvement laissant s’écouler son foutre, te contentant de lui écarter et de malaxer ses fesses avec les mains. J’en profite pour reprendre mon va-et-vient tout en éjaculant moi-aussi ma semence qui rejoint la tienne. Ma queue coulisse librement, profitant des contractions provoquées par l’orgasme qui semble ne pas s’arrêter. Nathalie en se dégageant, ...