1. Infidélité loyale


    Datte: 15/11/2017, Catégories: f, fh, hagé, cérébral, revede, Masturbation exercice, sf, fantastiqu, fantastiq, couple,

    ... chair et de sang pourrait me témoigner plus belle preuve d’amour ?— Oui, je crois… Par exemple, en vous donnant de beaux enfants.— Et quelle envie aurais-je de pouponner une couvée de braillards, qui une fois adultes se dépêcheraient de m’oublier avant de m’enfermer dans un hospice ? Virginie et moi, nous nous suffisons l’un à l’autre ; je n’ai nul besoin d’encombrer la Terre avec ma descendance !— Malheureusement, nous n’en sommes plus là, objecta la socio-enquêtrice. Si le déclin de la natalité se poursuit sur ce rythme, il n’est pas impossible que l’humanité périclite jusqu’à disparaître un jour…— Puis-je vous poser une question, à mon tour ? s’enquit Müller.— Mais oui, bien sûr.— Vous-même, avez-vous un mari, un amant, ou ne serait-ce que des aventures occasionnelles avec nos semblables ? Nina se sentit rougir jusqu’aux oreilles. Hector, son partenaire de jeu aux phallus multiples, n’était même pas humanoïde. Depuis des années, elle s’envoyait en l’air avec une chenille montée sur vérins, à la perversité décoiffante… — Inutile de répondre, je crois avoir deviné. Ah ! Belle image que vous nous donnez, vous les agents moralisateurs censés nous remettre dans le droit chemin ! s’esclaffa Erik Müller. Puis, après avoir siroté un instant son verre, il congédia madame Von Tarpp d’une ultime tirade : — Pensez-en ce que vous voulez, mais pour moi, les synthétiques nous sont tellement supérieurs que la désaffection mutuelle entre hommes et femmes n’est que justice. (retour au ...
    ... sommaire) Dans le secret d’une chambre : — Mais que faites-vous là, ma douce ?— Je dépose une noix de crème pour adoucir mes mains. Vous savez que je tiens à ce cérémonial tous les soirs avant minuit.— Faites donc… j’ai hâte… Ohhh ma Mie, tendez-moi votre main, que je remplisse mes narines du parfum de votre crème.— Comme cela ? Et la main fut tendue. — Oh oui…— Vous ne vous lassez donc jamais, Charles-Auguste ?— Comment le puis-je, ma chère Adélaïde ? Vous sentez si bon ! Et la douceur de votre peau délicate réjouirait mes doigts si…— Touchez donc, mon cher ; et pour vous y aider, je relève un peu ce drap blanc dont je ne peux me défaire, et je retrousse mes manches pour votre caresse. Elle se prête avec grand plaisir à ce jeu quelque peu coquin. — Quelle joie, quel délice ! Dites-moi, pour me réjouir davantage, glissez donc votre main délicate sur vos si charmantes parties cachées.— Humm…— Quel bonheur ! Adélaïde, et si vous releviez votre drap un peu plus pour me ravir les yeux.— Je vous trouve bien hardi ce soir, et votre regard… whooouu…— Qu’est-ce donc ce « whou » que vous me sortez de votre si belle voix ?— L’exclamation est jolie, n’est-il pas ? Je m’y suis exercée tantôt ; mais prolongez votre « ooouu » ; l’effet conviendra mieux avec l’expression de vos yeux et nous resterons dans l’ambiance. Et la délicieuse Adélaïde relève doucement le tissu blanc jusqu’à libérer… ses mollets. — Comme toujours, vous avez le mot qu’il faut et le geste qui va avec. Mais osez me dévoiler ...
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