1. 28 ans


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, ff, ffh, jeunes, nympho, grosseins, caférestau, dispute, cérébral, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus, coprolalie, occasion,

    ... rapidement devant son beau visage, qui le regardait fixement, et d’un coup déchargea toute sa semence sur les joues de Marine. Marine, laissant couler le sperme sur son corps et notamment sa poitrine, se précipita aussitôt sur la queue de Paul et finit de la nettoyer avec sa bouche. C’est alors que la sonnette retentit… Marine tendit l’oreille, surprise. Paul sursauta. — On s’en fout, il dit, on a mieux à faire. Il s’effondra sur elle au milieu du lit. Il l’embrassa. Un baiser. Profond. Langoureux. Avec de la salive. Plein. De la salive qui crache autour de la bouche. Marine se dégagea. — Va ouvrir, elle dit. Je veux que tu ouvres. Il dit : — Non, t’embrasser c’est me rapprocher de ton âme. Alors j’ouvre pas. Il prit sa bouche encore. Força les lèvres à s’écarter. Un baiser. Brutal. Érotique. Pornographique. Un baiser comme on en rêve tous. Elle se débattit, nerveuse. — Mais va ouvrir, je te dis ! Il répondit : — Ferme-la, tu le dis encore et je te gifle. Il écrasa la bouche de Marine, trouva la langue. Elle le désirait. Elle désirait ce baiser explosif. Il suait. Elle suait. La sueur rentrait dans leurs bouches, c’était salé, la salive rendait la sueur moins liquide. Un baiser pareil, c’était inespéré. On sonna à nouveau. Avec insistance. Quelqu’un derrière la porte, ce quelqu’un qui sonnait, fouillait dans un sac. Un bruit de clés se fit entendre. Puis plus rien. Une minute passa. Paul embrassait Marine. La sonnerie, longue, stridente, comme une alarme, une sirène. ...
    ... Exaspéré, Paul bondit hors du lit. — Putain mais c’est pas vrai ! maugréa-t-il. Il enfila un short, sortit de la chambre. Pour ouvrir. Sur le lit, lascive, Marine souriait… Elle entendit soudain une voix de femme avec un fort accent : — Love, did you miss me ? Et vit une grande blonde débarquer dans la chambre… Ingrid… Marine avait complètement oublié jusqu’à son existence. Elle regarda Marine avec de grands yeux ronds, sous l’effet de surprise, puis se retourna vers Paul en lui disant : — Mais chéri, how could you do this to me ? Paul lui répondit du tac au tac : — Écoute, Ingrid, je te l’ai déjà dit à plusieurs reprises, c’est fini, et bien fini entre nous, et je ne sais pas ce que tu viens encore faire ici. Tournons la page et que chacun vive sa vie ! Elle lui répondit : — Ah ça, pour tourner la page, tyou n’as pas perdyou de temps. Et elle éclata en sanglots… Marine se rapprocha d’elle. Elle murmura : — Je suis désolée, je ne savais même pas pour cette rupture, le pire c’est que dans ma tête, là, tu représentais une femme trompée… Quelque part, je suis rassurée. Paul est libre, à l’évidence. Ingrid sanglotait, pathétique, clownesque, Ingrid n’acceptait pas ces rebondissements dans son existence, cela se voyait. Ingrid était une fille superbe, elle ne pouvait pas être plaquée, les cheveux de blé, les yeux de porcelaine, les jambes interminables et les seins menus plantés si haut. Le regard de Marine s’attarda sur la pointe des seins de la belle Suédoise. Sous un grand tee-shirt ...
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