28 ans
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
jeunes,
nympho,
grosseins,
caférestau,
dispute,
cérébral,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
coprolalie,
occasion,
... bleus croqués à déposer comme des tatouages, juste à la naissance du sexe. « Sûr qu’elle s’épile complet », il pensa. Il revit comme par flashes les images de sa poitrine démesurée, ample, son buste gracieux, presque un Botticelli, ce buste, presque. Marine, c’était la sensualité, la féminité, elle lançait des regards sauvages et des regards soumis, elle baissait les yeux devant les hommes. Il banda. Son attribut se tendit comme un arc, se gorgea de désir, il en eut mal. Il ne vit pas Marine s’approcher dans un vieux 501 qui lui collait le corps, un truc qu’elle avait depuis dix ans au moins, il ne vit pas marcher cette femme campée sur des chaussures de flamenco, des talons noirs, fins, retenus à la cheville par des lanières de cuir, sinon, il aurait su que ce n’est pas marcher, ça, c’est danser. Il ne vit pas le cache-cœur de dentelles noires, turquoise, chocolat, des dentelles savamment croisées entre elles qui couvraient un caraco de satin. Ce putain de décolleté jusqu’au nombril, il ne vit rien d’autre que ce putain de décolleté jusqu’au nombril quand elle prit place à ses côtés. La garce sentait bon le jasmin. Il s’enivra de cet effluve. Il commanda deux portos, avec ou sans glace il s’en battait les flancs, et elle aussi. Il plongea ses yeux verts dans les siens et elle baissa les yeux. Parce que devant les hommes, elle baissait les yeux. Ils se mirent à discuter de tout, de la vie, de leurs carrières respectives, puis arrivèrent aux amours… Paul ne fit pas référence ...
... à sa rupture récente, mais prétexta qu’Ingrid était retournée voir sa famille en Suède pendant une semaine, et que du coup, il se retrouvait seul, solitaire, bien triste. À chaque phrase qu’il prononçait en regardant Marine droit dans les yeux, celle-ci les baissait, regardant ses pieds et ses talons, puis Paul sentit que son regard se relevait très doucement jusqu’à, discrètement, épier les mouvements au niveau de son entrejambe à lui… Ah la coquine, si elle savait combien Paul avait envie de lui mettre bien au fond sa bonne grosse bite, de lui faire sentir à quel point elle le faisait bander, et de lui donner un maximum de plaisir en la faisant coulisser dans sa petite chatte étroite. Paul se reconcentra sur leur discussion, Marine lui confiait qu’elle était toujours célibataire, et commençait à se poser des questions : elle qui était toujours obéissante et prête à satisfaire son partenaire dans les moindres occasions, comment n’arrivait-elle plus à séduire ? Était-elle déjà, à 27 ans, moins désirable qu’il y a une dizaine d’années ? Intrigué et excité par la question, Paul la rassura en lui disant qu’elle était toujours extrêmement sexy et attirante, et lui demanda ce qu’elle entendait par « toujours prête à satisfaire son partenaire dans les moindres occasions » ? Marine avoua être une jeune femme docile, conciliante. Et joueuse. Elle confia à Paul, impudeur exquise, son désir de partager la couche d’Ingrid et, partant, celle de son interlocuteur. Elle convint cependant ...