1. Réaliser l'épreuve imposée par Mon Maître (5)


    Datte: 21/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... qu’elle se confie à lui. Notre relation est devenue de plus en plus fusionnelle, jusqu’au jour où un véritable amour est né entre nous, et il n’a fait que grandir depuis. Un amour totalement différant que celui de deux amants. Quelque chose de beaucoup plus grand, plus fort, beaucoup plus cérébral. Cela s’est fait dans une grande complicité, confiance, et surtout dans un cadre précis qui lui a permis de se dédoubler. Elle explique : une vie secrète avec mon Maître dans une bulle protectrice qui lui a permis d’évoluer et de devenir la chienne qu’elle est aujourd’hui, mais que dans un cadre précis. Dans cette bulle elle s’est totalement affranchie de la moralité de cette société. Mais en parallèle, elle a su conserver en complicité avec son Maître une autre vie beaucoup plus sobre, totalement déconnectée de ce qu’elle est ici. Une double vie parfaitement canalisée acceptée. Sans vouloir offenser Maître Olivier qui l’a fait progresser, et en restant sa propriété, elle sait qu’elle a encore à apprendre, à donner, pour appartenir encore plus à Maître Olivier. Elle sait maintenant qu’elle est la chienne de Maître Olivier, elle lui appartient totalement, mais elle a encore des lacunes dans beaucoup de domaines. En remerciant mon Maître Olivier de m’avoir guidé sur ce chemin, acceptez de la chienne toute sa gratitude. Servilement votre Tina chienne de Maître Olivier Femelle, On ne respecte pas une chienne. On la regarde, on la juge, on souhaite la caresser et obtenir de la ...
    ... reconnaissance. On ne respecte pas une esclave. On la regarde, on la juge, on rit de sa petitesse, de son inutilité humaine, on la caresse, on la pénètre des doigts ou des mains, on vérifie sa denture, on la retourne en tous sens pour voir ses qualités et ses défauts, on lui interdit la parole, on la prend, on la prête, on l’encage, on la nourrit. Elle dort à terre et dit toujours oui, on la présente à d’autres soit comme un trésor, soit comme un objet ridicule, selon l’humeur du jour. Mais surtout elle sert, elle travaille, elle se fatigue à notre place, car c’est son rôle et sa place, à quatre pattes. Des précédents courriers reçus de la chienne, je retire des questions que je poserai dès demain. Mais aujourd’hui je veux mieux connaître son cul. Un peu lisse, classique, enjolivée la description reçue il y a quelques jours ! Elle va donc aujourd’hui détailler avec précision à quoi ressemblent son trou arrière et l’usage que l’on peut en faire. C’est-à-dire l’usage qu’elle doit accepter qu’on en fasse. La soumise est une vide-couilles. C’est son rôle essentiel. En sa bouche et en son trou du cul. Parlons de celui-là. Sa largeur, sa profondeur. Peut-on y glisser un seul doigt ? Trois ? Une main peut-être ? Je veux une description. Mais l’usage ! Ah l’usage ! Il est de bon ton, donc nécessaire et obligatoire qu’il serve plusieurs fois par jour de vide-couilles à son mari. Elle est réceptacle. Objet utile et nécessaire. Un trou pour vider le trop-plein. Maître Olivier attend de se voir ...