Dentelle vert espoir
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
amour,
intermast,
entreseins,
Oral
nopéné,
... travail, à se masturber tout seul dans ma main. Ça m’excite de jouer avec lui. D’ailleurs, je suis cruelle, je ne lui offre que ma main gauche, de la droite, je suis bien trop occupée à me caresser. Pauvre tanga, il va finir par être tout râpé après tant de frottements. J’arrête de le torturer. Je trace un cercle de la pointe de la langue, puis laisse mes lèvres glisser pour englober le bout de sa queue. J’ai connu des sucreries plus faciles à sucer, mais aucune d’aussi amusante. Je me prépare à l’accueillir plus profond dans ma bouche, mais il me retient. — Arrête, si tu continues, je vais jouir dans ta bouche, et j’ai envie de toi autrement d’abord. Ah, il a changé d’avis alors. Tant pis, j’ai envie, je crois. Et je suis tellement mouillée, et excitée de l’avoir eu dans ma bouche, peut-être que ça ira cette fois ? Je n’ai jamais essayé après avoir déjà eu un orgasme. Je ne bouge plus, je n’arrive pas à prendre l’initiative. Est-ce qu’il attend que je finisse de me déshabiller ? Je porte les mains à mes hanches pour me débarrasser une bonne fois pour toutes de mon tanga. — Non, tu gardes cette culotte !— Mais tu ne veux pas… ?— Tu es incroyablement têtue ! Tu gardes cette culotte, et tu me laisses te prouver qu’on peut passer une très bonne nuit sans pénétration. Je grimace. — Rien que le mot te fait peur ! Je veux faire l’amour avec toi, pas te traumatiser ! Quel plaisir tu crois que j’y prendrais ? C’est vexant à la fin, je suis un homme tu sais, pas un ado addict au ...
... porno persuadé que le sexe c’est « une bite dans une chatte », ou autant de bites possibles dans autant d’orifices. Je suis capable de m’en passer pour une soirée.— Je suis désolée… Je ne voulais pas te fâcher. Je baisse les yeux d’un air contrit. — Je ne suis pas fâché. Mais tu es têtue.— Je veux juste… te faire plaisir. À tout prix, mais ça je ne l’ajoute pas. — Alors, viens. Il m’attire dans ses bras, et cette fois je sens son sexe directement contre mes fesses à peine surmontées de leur « rempart » de dentelle. Il les écarte un peu pour se positionner parfaitement dans le sillon, et d’une main posée sur mon ventre, il me plaque contre lui. Le bout de ses doigts frôle à peine mon clitoris, je gémis déjà. Il me maintient ferment contre lui et se presse contre mes fesses. — Tu as des fesses superbes. Et très accueillantes… Je ne réponds pas, même pas pour une de mes répliques habituelles d’autodépréciation sur la taille considérable de mon postérieur. Je suis beaucoup trop excitée de lui avoir donné du plaisir et de le sentir se frotter comme ça contre moi. — Par contre, je vais avoir du mal à finir comme ça. Deux secondes. Il s’écarte à regret de mes fesses et me laisse plantée là, avec le tanga au bord de la combustion spontanée. Heureusement il revient presque aussitôt. — Eh, mais tu pourrais m’attendre ! C’est vrai, ma main a retrouvé toute seule sa place entre mes cuisses. Je rougis presque. — Hmm, j’ai pas fait exprès… Il rit. — Tout a une volonté propre chez toi, tes ...