La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°989)
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... - À poil ! Plus vite que ça ! Marc obéit directement et exhibe fièrement son énorme hampe de chair tendue vers le plafond. Pierre observe toujours, ses yeux maintenant rivés sur ce pôle d'intérêt. Alain hésite, essayant d'amener des images moins perverses dans sa tête pour perdre sa bandaison… mais sans résultat. Baissant les yeux, il peut même voir une grosse tâche humide assombrissant le devant de son slip avant de le baisser lentement, le corps rouge de honte et d'humiliations. Finalement, Pierre suit le mouvement et trois corps totalement nus et trois sexes tendus sont offerts à la vue des hôtes. Complètement perdu, le regard d’Alain retourne vers les jolies jeunes fesses qui s'agitent de plus en plus. Il peut entendre un râle discret et voit la jeune fille reculer, se relever. Alain peut discerner un fluide blanc et épais dégouliner du coin de la bouche de la jeune servante avant que celle-ci ne l'essuie du revers de la main. La jeune fille contourne le bureau pour se placer derrière le Maître. C'est à cet instant seulement qu’Alain prend pleinement conscience de sa nudité. Son visage et tout son corps devient cramoisi, il voudrait fuir, ramper sous le plancher. La honte et l'excitation font bataille dans sa tête. Monsieur le Marquis regarde son bas-ventre alors que ses mains sont sous le bureau, il semble rajuster ses habits. Monsieur le Marquis se lève et se dirige vers ses nouvelles recrues. Au passage, il attrape une petite cravache avec sa main droite. Les garçons ...
... sont effrayés mais ne bronchent pas. Dans un silence glacial, Le Noble inspecte chacun des trois jeunes hommes, tournant plusieurs fois autour, tapotant de temps en temps un muscle ou l'autre avec sa cravache. Alain est malade, il se sent comme un animal en vente, il a comme des nausées à cause de l’appréhension, il est en sueur et a de légers tremblements... Mais, lorsque vient son tour, sa hampe palpite et dégouline de plus belle. Une ferme caresse de la cravache sur sa tige lui arrache un doux gémissement. Tout ceci est dégradant et pourtant son entrejambe trahi d'autres sentiments pour une satisfaction visible sur le visage de Monsieur le Marquis. Une fois l'inspection terminée, Monsieur le Marquis retourne, toujours sans un mot, derrière son bureau tandis que Marie commence la lecture du règlement de la maison, règlement fait de devoirs, d'interdictions et d'obligations. Alain est au bord des larmes, ses rêves sont brisés. Aucun des serviteurs n'a même pas la force de résister, de réclamer, de s'opposer. À la fin de la lecture, les trois jeunes hommes nus sont résignés, toujours au garde-à-vous, la tête penchée, les yeux vers le sol. Alain repense à la seule chose positive dans ce Château, les pétillantes fesses fermes qui s'étaient agitées devant ses yeux ébahis et l'incroyable bande de métal luisant qui les sépare. Même le retentissement d’une clochette, s’ensuit le lourd claquement d'une porte qui s'ouvre, ni même l'apparition subite d'un grand homme incroyablement ...