1. Une soirée de réception. Le passé ressurgit 6


    Datte: 15/11/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mouiller alors que la peur envahit mon esprit. Je transpire la peur et le sexe et avec la chaleur et le confinement dans ces rayons, je suis sûre qu’autour de moi, on doit s’en rendre compte. Je suis morte de honte. Je reste les yeux baissés sur mon caddie sans oser regarder autour de moi. J’avance dans l’allée en tremblant. C’est samedi, il y a beaucoup de monde dans le centre commercial. Je contourne une console, je m’affole, je cherche à localiser mon époux. Je bouscule une vieille dame qui m’insulte en hurlant. Je m'excuse à peine. Un homme âgé me toise et veut m’attraper pour me rouspéter après sans doute. J’arrive à fuir et à échapper à la horde sauvage. Je me cache au fond d’une rangée peu fréquentée, en tremblant je me saisis de la lettre et j’arrive à trouver le courage de l’ouvrir. C’est l’excitation qui me guide. J’ai du mal à respirer. L’enveloppe me résiste tant je suis énervée, mes geste sont gauches, maladroits. Une lettre manuscrite est dedans, je la déplie, mon sang se glace dans mes veines, je me retiens à la poignée du chariot, titubante à deux doigts de m’évanouir : « Enlève ta culotte et soulève ta robe bleue pour mettre tes fesses à l'air, pour aérer ton sillon et rafraîchir ta chatte au gré du vent. Reste comme ça le cul à la vue de tous pendant cinq minutes et évite de te faire prendre pour éviter le scandale » Ce n’est pas possible, je ne peux faire cela ! Il y trop de monde et des caméras partout. Il faut que je sorte de ce magasin. Retrouver mon ...
    ... mari au plus vite et fuir. En même temps, je retrouve cette excitation perverse qui consiste à obéir, à me soumettre à des ordres qui me plongent dans la débauche, me dédouanant de toute morale ou éducation, comme si je n’étais pas responsable. Cette injonction me libère de mes tabous de bourgeoise BCBG et d’épouse fidèle aux yeux de mon entourage. Sans compter que ce centre est à deux pas de notre maison et que je risque d’y rencontrer des voisins. Mon excitation croit, et prend le pas sur la peur. Soudain je me décide. Je suis dans une allée un peu moins fréquentée. Je me cache en partie derrière mon caddie. Ma robe bleue est légère, courte, évasée sur mes cuisses et c’est un jeu d’enfant de glisser une main dessous et tirer ma culotte vers le bas. Je lève une jambe puis l’autre tout en surveillant devant moi la venue d’un client. Vite, je jette le tissu dans le caddie au moment où le vieux qui voulait me donner la leçon arrive devant moi. Je réalise que ma culotte est visible dans le caddie et qu’il a dû assister en partie à la scène. Il vient vers moi poussant son chariot. Il a le regard froid, violent ! J'ai peur et je reste figée une boule au ventre. Quand il est à me toucher, séparés simplement du chariot, il aperçoit ma culotte abandonnée sur les paquets de commissions. Il se fige, incrédule. Son regard passe de la culotte à mes jambes et ne peut que se conforter de l'évidence : je suis cul nu. Là, l'inattendu arrive : mon mari. Me voyant coincée contre le mur, derrière ...