Un stage un peu spécial
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
... croise et décroise mes jambes, je l’effleure dès que j’en ai l’occasion. Cependant, il reste de marbre et je ne perçois aucun geste ou parole qui trahirait que mes avances ne le laissent pas insensible. Au départ banales, nos conversations s’orientent quant à elles vers des sujets plus légers. Nous évoquons nos expériences sexuelles et il semble étonné de tout ce que j’ai pu faire, étant donné mon âge. Quand je lui confesse avoir déjà couché avec mon maître de stage l’an passé, il ne relève pas mais revient tout de même plusieurs fois sur le sujet en demandant des détails, toujours plus indiscrets comme où nous l’avons fait, s’il était bien monté, ce qu’il m’a fait… Voyant la fin de mon stage arriver, je me dis que je n’ai rien à perdre et me décide à lui faire des avances plus directes. Lundi matin je débarque au boulot. Bien décidée à lui faire comprendre ce que j’ai en tête, j’ai revêtu une tenue très étudiée : un petit haut noir cache-cœur très moulant avec un décolleté vertigineux qui dévoile ma poitrine pâle. J’ai complété la tenue par une jupe cintrée à la taille qui s’évase jusqu’à mi-cuisses et qui cache une paire de bas retenus par un porte-jarretelles en dentelle noire. Mes jambes sont mises en valeur par une paire de hauts talons. En entrant dans notre bureau, je surprends une étincelle de surprise dans son regard. Il reprend bien vite contenance et me donne un nouveau travail. La journée s’écoule lentement sans que je trouve l’occasion de m’approcher de lui. ...
... Un peu avant 17 h, il me demande de venir voir quelque chose. — Tu comprends quelque chose à ce mail, toi ? Je m’avance et me perche sur son bureau. Je me penche en avant pour regarder ce qu’il veut me montrer (et lui offrir l’occasion de se rincer l’œil dans mon profond décolleté) et croise mes jambes. Je sens ma jupe remonter, et un léger souffle sur ma cuisse m’indique que monsieur Gratin peut voir le haut de mes bas. Je frotte mes jambes l’une contre l’autre pour faire crisser mes bas, mais rien n’y fait : il garde les yeux rivés sur son écran, concentré. Je passe derrière lui et pose mes mains sur le dossier de sa chaise. — Tu sais comment on pourrait traduire ça, toi ? me demande-t-il.— Attendez, je vais vous montrer… lui réponds-je en passant mes mains autour de lui pour saisir la souris. Mes seins effleurent son dos. Je le sens frissonner. N’ayant plus besoin de moi, il me demande, d’une voix molle, de retourner à ma place et me remercie pour mon aide. Un léger sourire aux lèvres, je reprends ma place. L’heure tourne. Les autres passent nous dire au revoir avant de rentrer chez eux. Il est maintenant 19 h 30. Le patron passe la tête dans le bureau. Il est le dernier (à part nous) à partir. — À demain. Vous penserez à fermer en partant. J’entends la porte se refermer et un moteur de voiture qui vrombit quelques secondes plus tard. Quelques minutes passent. Seul le bruit des claviers et le ronflement des ordinateurs viennent perturber le silence. M. Gratin remue sur sa ...