1. End of the world ou la fin de la solitude


    Datte: 23/08/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, froid, pénétratio, sf,

    ... visage et, se hissant sur la pointe des pieds, pose ses lèvres sur celles de l’homme. Baiser timide, lèvres closes, de la jeune pucelle et du vieil homme désenchanté. Oubliés les mercenaires sanguinaires qui risquent d’envahir leur havre d’une seconde à l’autre, seuls comptent leurs corps soudés dans ce baiser désespéré. Une petite langue curieuse pointe, se fraye un passage entre les lèvres serrées de l’homme. Petite étincelle qui allume un brasier. Leurs bouches se décèlent. Baiser passion. Duel de langues agiles. Leurs corps s’en mêlent, s’emmêlent. La houle se déchaîne. Leurs sexes se parlent, se frottent, se massent. Humidité contre rigidité. Jusqu’à ce que… — Non ! Non ! Non ! hurle Luigi en la repoussant violemment et la tenant à bout de bras.— Gueulez pas comme ça ! Ils vont nous entendre ! Pi qu’est-ce qui vous prend ? Elle tente de se soustraire à l’étreinte de ses mains, de rompre la tentative d’éloignement de l’homme par des gigotements désordonnés. Gigotements qui ont pour principales conséquences d’insuffler à ses seins un mouvement de balancier si perforant que les attaches électrostatiques de la combinaison se détachent, que les deux globes laiteux s’en échappent. Instant de flottement… vision extraordinaire… des aréoles de cette taille, il n’en a jamais vu : plusieurs centimètres de diamètre et presque noires. Claire profite de son ébahissement pour l’attirer contre elle, mais il se reprend. — Nous allions faire une connerie et je ne crois pas que ce soit le ...
    ... moment idéal.— Je vous plais pas ou alors vous allez me sortir le couplet sur le «c’est pas bien, nous ne sommes pas mariés«.— Le mariage est le cadet de mes soucis !— Alors qu’est-ce qui y’ a ? Vous êtes pas homodéviant pourtant ! J’en ai la preuve, dit-elle en tentant d’empoigner ses testicules. Sursaut de recul qui presse, en l’espace d’une seconde, le jeune corps partiellement dénudé contre lui. Deux tétons durs comme de la pierre viennent frapper sa poitrine. Brusque montée de désir. D’un geste brutal, reflet de sa propre frustration, il la repousse à nouveau. — Vous n’êtes pas… Nous ne sommes pas dans notre état normal. Accomplir l’acte maintenant serait… après vous le regretteriez. Il la tient à bout de bras, tentant matériellement d’éloigner la tentatrice. — S’il y’ a un après… Vous oubliez les tueurs qui rodent dehors. Tentative vouée à l’échec ! La tentation a seulement changé de sens : du toucher, il est passé à la vue. En effet, au cours de la dernière échauffourée, d’autres velcros ont craqué. La combine est ouverte plus bas que le nombril. Les mamelons remuent au rythme des vociférations de la demoiselle. Luigi ne s’est pas trompé : elle a bien enlevé sa culotte. L’épaisse touffe de poils qui dépasse le lui prouve. Il a de plus en plus de mal. Le désir se fait de plus en plus insistant. Pourtant, il doit continuer. — Je n’oublie rien. Mais ils ne nous découvriront pas ! Et vous donner à moi par désespoir serait stupide.— Tu l’as dit Ali ! Tu… pardon, vous parlez ...
«12...131415...21»