1. End of the world ou la fin de la solitude


    Datte: 23/08/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, froid, pénétratio, sf,

    ... convaincre, elle remue lentement les fesses contre son bassin. Un instant, il oublie la situation dans laquelle ils se trouvent. Claire, dans ses lamentations, a posé la nuque au creux de son épaule, levant la tête vers lui. Il n’a qu’à pencher la sienne légèrement pour que leurs lèvres se rencontrent. Baiser protecteur qui se veut rassurant. Sa main s’est glissée sous la combinaison et empaume un sein. Retour à la réalité malgré ses envies, son esprit lutte contre cette attirance purement sexuelle. Il stoppe la caresse à peine esquissée sans pour autant que sa main délaisse sa proie. Il récupère l’usage de sa bouche et détourne la conversation : — Ils ne nous trouveront pas. Par contre, comme l’ordo a déclenché le système d’autodéfense, nous sommes réduits à un inconfort certain jusqu’au départ de vos amis. Toutes les fonctions sont ajustées au minimum vital. Ça va être galère.— D’abord, c’est pas mes amis ! dit-elle en lui faisant face. Ensuite pour la galère ça pourrait être pire, y’ a votre lit. On pourra toujours s’occuper agréablement, continue-t-elle dans un sourire empli de promesses coquines.— Dormir ne sera pas un problème, lui réplique-t-il, ignorant volontairement l’allusion grivoise. Nous aurons de l’eau et de quoi manger, mais nous devrons nous contenter de plats lyophilisés. Le S. I. C. C. est en stand-by jusqu’à la fin de l’alerte. Nous risquons de ne pas avoir très chaud car la clim est réglée au niveau le plus bas.— Pour la clim je compte sur vous !— Le ...
    ... problème, ça va être l’hygiène. On va être obligés d’utiliser un sani broyeur auto recyclable. Déjà c’est pas le top, mais surtout nous allons être limités en eau pour LA toilette. Ça risque de craindre. Enfin, on peut espérer qu’ils soient repartis avant que l’odeur devienne insupportable. Claire ne l’écoute plus. D’une main pleine d’initiative, elle attrape le sweat et le remonte au-dessus de la poitrine de l’homme. Ses lèvres charnues se posent sur le torse poilu qu’elles couvrent de multiples baisers. Ce pull, décidément, la gêne. Elle décide de s’en débarrasser. Dans une dernière manifestation de lucidité, Luigi résiste à ce déshabillage en tentant de se rajuster. Un baiser-suçon, fort adroitement appliqué sur un téton, déjà bien affolé, a raison de cette ultime velléité défensive. Exit le pull. — Et puis merde ! se dit-il. La petite a raison. Nous serons peut-être morts demain. Alors… Dans l’instant qui suit, après quelques gesticulations, leurs torses dénudés font connaissance. La juvénile et ferme poitrine, à la peau veloutée, pèse sensuellement contre le poitrail velu à la peau tannée par le grand air. Leurs tétons durcis s’excitent en de mutuels frôlements. Leurs lèvres se trouvent. Plus aucune résistance, baiser d’acceptation de l’inéluctable. Malgré le péril extérieur aucune précipitation. D’ailleurs l’extérieur, ils l’ont oublié. Statufiés face à l’ordo, corps fusionnés, nus jusqu’à la ceinture. La combine de Claire pend comiquement en une espèce de queue-de-pie ...
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