End of the world ou la fin de la solitude
Datte: 23/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
froid,
pénétratio,
sf,
... leur jouissance simultanée s’apaise. Claire s’alanguit dans les bras de l’homme qui vient de l’amener si haut, si loin. Luigi, étonné d’un tel cataclysme, ne cesse de poser de tendres baisers dans le cou de la jeune fille tandis que ces mains caressent amoureusement son visage. Mais Claire, à peine les pieds en contact avec le sol, reprend contact avec la réalité. Elle s’écarte de lui et frappe sa poitrine de ses poings fermés en psalmodiant : — Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Luigi n’y comprend plus rien ! Il a eu l’impression que la jeune fille a apprécié autant que lui ce petit aparté amoureux… les femmes… toujours le même mystère. Il ne sait quoi dire. Les coups s’espacent, s’estompent, s’arrêtent. D’une voix troublée par les sanglots : — Pourquoi t’es pas allé au bout ? Pas allé jusqu’au bout ! Cela le fait sourire ! Il voit sa liqueur couler encore le long des cuisses de Claire, son minou inondé de cyprine ; il se rappelle ses spasmes de jouissance, ses ongles déchirant sa peau… — Pas allé jusqu’au bout ? Je ne sais pas ce qu’il te faut ! À ces mots, les poings de Claire entament un nouveau solo de percussion sur sa poitrine. — Salaud ! Tu devais prendre ma virginité ! Et tu m’as traité comme une ado interdite, tu t’es contenté de te branler entre mes cuisses ! Pourquoi, pourquoi ?— Je pourrais te répondre que je n’ai pas voulu abuser de ta détresse et profiter de la situation, mais…— Arrête de te foutre de ma gueule.— J’peux finir ?— Oui.— Mais ...
... ce ne serait pas la vérité ! Elle est moins flatteuse pour ma virilité : simplement je n’ai pas pu faire autrement.— Eh ben, toi, t’aimes bien faire des grandes phrases, dit-elle la voix radoucie, un sourire chassant les dernières larmes. D’avoir fait perdre le contrôle à cet homme qui pourrait être son père lui procure une satisfaction qui efface la déception de son hymen préservé. Se coulant contre lui, lovant son corps contre le sien, sa poitrine durcie de désir contre la sienne, son pubis détrempé contre sa verge pendante, elle se pend à son cou. Dressée sur la pointe des pieds, sa bouche réinvestit celle de l’homme, sa langue tel un pénis impertinent s’enfonce entre les lèvres obligeantes pour un baiser brûlant. Luigi n’a plus d’état d’âme. Son corps, déjà, réagit à ce nouvel assaut. Le désir renaît. Si son sexe n’est pas encore à l’unisson, ses mains partent en exploration. Elles jouent une petite musique de nuit sur un clavier imaginaire naissant au creux de la nuque pour mourir à celui des fesses. Claire frissonne sous ses caresses aériennes, frôlantes, musicales. Sa jeunesse, sa vigueur la rend plus réactive : alors que la bite de son vis à «vit» n’a même pas amorcé une nouvelle érection, ses seins gorgés de désir, ses tétons aux pointes démesurément érigées lui font mal, son temple d’amour ne peut contenir cette cyprine qui détrempe sa touffe, déborde de nouveau sur ses cuisses. — Viens, viens… Reculant en crabe, elle attire Luigi vers la couche. Dans ce déplacement ...