1. Un chien qui s'ignore 17


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    -Quelle salope tu fais !-Allez au boulot, je t’attends dans ton bureau. Fais vite.La brute, excitée et impatiente, attrapa ma laisse et me tira vivement vers un treuil électrique. Je fus vite sanglé par la taille de mon ceinture de chasteté et levé du sol. Je me retrouvais la tête et les bras en bas, plié en deux. Mes pieds furent reliés entre eux par une sangle qui passait dans mon dos, m’obligeant à replier mes cuisses. Ma respiration s’accéléra devant cette nouvelle épreuve, mon cul et mes couilles plombées étaient dangereusement exposés. Il actionnait le treuil pour me placer à bonne hauteur. Je tournais autour du câble comme un sac inerte attendant qu’on le dépose quelque part.Il partit dans un coin et brassait des ferrailles. Une chaleur soudaine et inquiétante me monta aux narines. Soudain je compris ! Je connaissais cette odeur : le fer qu’on chauffe. Je tentais de remuer stupidement, de me faire descendre de ce câble.J’entendis son pas lourd revenir, la chaleur augmentait avec cette odeur entêtante.D’un gant épais de cuir, il m’attrapa la cuisse gauche pour bloquer ma rotation et malgré mes mouvements désordonnés de panique, m’appliqua un fer incandescent sur la fesse gauche et le maintint enfoncé. J’ouvris la bouche à m’en décrocher les mâchoires, sans son, pendant que mon cul brûlait dans une odeur épouvantable de cochon grillé. Mon cœur décrocha et je tombais dans les pommes.Quant je revins à moi, j’étais couché sur le ventre. Une douleur atroce me cuisait toute ...
    ... la moitié inférieure du corps. Je ne bougeais pas. Mes sens revenaient à moi petit à petit. J’avais encore en tête cette atroce odeur de ma peau qui brûlait. Je m’aperçus que j’étais immobilisé en travers d’un établi. Ma laisse était coincée dans un étau sous mon menton et mes jambes étaient liées aux pieds opposés de l’établi. Mes pattes avant équipées de leur moufle étaient bloquées dans l’étau, bras croisés, comme un chien au repos…Le heavy métal sortait toujours de la radio. Maitresse Nolwenn et la brute étaient dans le bureau, je les entendais baiser violemment. Elle criait comme une bête et l’incitait à augmenter la cadence. Malgré la douleur qui me cuisait, j’étais très excité d’entendre ce corps de rêve en train de jouir.Au bout de quelques temps, ils se calmèrent. Je vis la brute sortir du bureau en remontant sa salopette noirâtre sur son torse noueux. Son buste musclé était recouvert de tatouages. Il s’approchait de moi encore essoufflé de sa prouesse.- ‘Alors bite molle on est réveillé ? C’est Nolwenn qu’a eu l’idée de t’installer comme ça. Bon maintenant tu vas te rendre utile.’Il fit descendre les bretelles de sa salopette qui retomba sur ses chaussures et s’approcha tout prêt de moi. Sa bite se trouvait au niveau de mon visage encore gonflée de plaisir. Une forte odeur de sueur et de sperme se répandait.J’ouvris la bouche en grand et il enfourna sa queue visqueuse.-‘Nettoies moi tout ça bite molle, il parait que t’en raffole ! ‘Sa bite reprenait déjà du volume et ...
«123»