1. Rencontre du troisième genre


    Datte: 23/08/2021, Catégories: hbi, grossexe, hsoumis, Transexuels 69, hdanus, hsodo,

    ... traverser la cour intérieure afin d’emprunter un escalier de service. La belle doit probablement vivre dans un de ces petits studios logés sous les toits. Amanda interrompt sa marche et, d’un geste hautement provocateur, elle se penche en avant pour retirer sa paire de Louboutin… — La montée des escaliers est affreuse avec ces chaussures. Je me sens plus libre en ayant les pieds directement sur le sol. Je la laisse m’emboîter le pas. Cette prétendue galanterie n’est pas innocente bien évidemment. L’escalier en colimaçon m’offre la plus belle vue qui soit sur le postérieur d’Amanda qui monte chacune des marches avec une nonchalance feinte. Mon regard est scotché sur ses longues jambes et remonte le long de ses cuisses tandis que le tissu de sa robe semble vouloir s’envoler à chaque nouvelle marche gravie par elle d’un pas assuré. À deux ou trois occasions, je peux admirer clairement les fesses quasiment nues d’Amanda et la ficelle de son string coincée entre les deux. La situation me paraît irréelle. Il ne peut y avoir de doute sur les intentions d’Amanda à mon égard. Nous avons peu parlé durant les cinq minutes du trajet jusqu’à cet immeuble, moi par timidité, elle se laissant aller à quelques remarques anodines sur l’intérêt d’une vitrine d’un magasin ou la beauté d’une femme croisée sur le chemin (un test de sa part ?). Nous nous arrêtons, un peu essoufflés, au cinquième étage et Amanda glisse une clé dans la porte d’entrée de son logement. J’entre dans un studio cosy et ...
    ... richement décoré d’objets de style pop art, tous très colorés. — Est-ce que tu as bien profité de la vue sur mon cul dans l’escalier ? me lance-t-elle provocatrice après m’avoir fait asseoir dans le canapé de son salon tout en me tendant un nouveau verre de gin tonic, le troisième en moins d’une heure.— Oui et cela a largement compensé l’effort de ces cinq étages interminables, dis-je en souriant, au comble de mon excitation. Alors Amanda se rapproche de moi de face, place ses jambes au-dessus des miennes en s’asseyant sur mes genoux puis sa grande bouche s’empare de la mienne et nous nous embrassons délicieusement. Ma tête tourne tandis que nos langues se chassent mutuellement puis s’enroulent l’une autour de l’autre. J’ai l’impression que ces lèvres vont m’avaler. — Tu aimes ça, te faire embrasser, hein ? Je la regarde de près et je n’ai plus aucun doute à présent. — Tu sais qui je suis. Et ça t’excite de faire l’amour avec moi parce que je suis une transsexuelle… me dit-elle d’une voix provocante avec son charmant petit accent latin, tout en glissant sa main sur le pli de mon pantalon puis en caressant sur le tissu la bosse que mon sexe a rendue évidente. Oui, c’est vrai, je suis totalement envoûté par ce corps mystérieux et ne puis m’empêcher de penser à ce que je vais découvrir lorsque nous nous dévêtirons. C’est-à-dire maintenant. D’abord, sa robe moulante se retire non sans quelques mouvements déhanchés, tandis que nous continuons de nous embrasser. Je découvre un ventre ...
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