1. Les réceptions de M. Le Marquis (Partie VIII)


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... les éclats de rire de la femme traiteur, qui doit voir la scène. Je ne me déconcentre pas pour autant. L’humiliation fait partie de mon rôle de ce soir Car oui, pour ce soir je ne suis qu’un esclave sexuel, avec pour seul libre arbitre le plaisir des invités. S’ils ne la reprennent pas, c’est qu’ils considèrent qu’elle a le droit de se moquer de moi, et alors, cela me convient. S’ils m’ordonnent de me mettre à genoux devant elle et de lui embrasser les pieds, je le ferai. Mais pour l’heure, ce n’est pas leur dessein, aussi je continue à les sucer et à les branler. Le petit manège dure un long moment, mais je ne me laisse pas abattre. Finalement, j’entends Monsieur le Marquis s’exclamer : - Eh bien, jeune homme, il vous en aura fallu du temps pour vous laver ! Monsieur Trévigny vous a t-il tant rempli que cela ? Sans m’arrêter de sucer, je devine que Brun est revenu de sa toilette. Une tape sur la tête me signale que je peux m’arrêter. Monsieur Curval prend la parole : - Bon, eh bien si notre petit brun est revenu, cela signifie que je peux subtiliser celui-ci pour passer à la chambre. Et comme pour illustrer son propos, il passe son index dans l’anneau de mon collier, et me fait relever, puis m’essuie avec une serviette et m’entraîne à sa suite, toujours en tirant sur mon anneau. Docile, je le suis en gardant les bras croisés dans le dos. Mon cœur bat la chamade. Je suis envahi d’un mélange d’excitation ultime, et d’appréhension. Constatant mon inconfort à marcher, il me ...
    ... lance : - Allons, mon garçon, faites un effort. Vous serez bien content d’avoir gardé ce plug lorsque je vous présenterai mon sexe, car il est d’une taille conséquente, vous en conviendrez. Dans le salon, nous croisons M. Modeni qui, ayant fait son affaire, retourne au cœur de la fête, encore tout rouge de l’effort effectué dans la chambre avec Blond. Les deux hommes se font signe, et M. Modeni fait un grand sourire accompagné d’un clin d’œil complice à M. Curval. Je baisse les yeux. Nous faisons un petit détour par le vestiaire des invités, pour que M. Curval se rhabille. Je l’attends dans le couloir, exposé à la vue et aux moqueries des traiteurs. J’aperçois furtivement Blond qui se dirige tant bien que mal vers les vestiaires et les douches des esclaves, le corps luisant de sueur et rougi par endroits. Arrivés dans la chambre, M. Curval m’ordonne d’aller me placer à genoux sous l’un des anneaux fixés au baldaquin du lit. J’obéis et il s’empare de mes mains afin de les lier à l’anneau, au-dessus de ma tête. - Désormais vous êtes à ma merci, c’est bien compris ? - Oui Maître. Il hoche la tête d’un air satisfait et se dirige vers la table où sont disposés les accessoires. Son pas est lent, et ses gestes minutieux. Il attrape quelque chose, sans que je ne puisse réussir à voir quoi, et fait volte-face pour revenir vers moi. Il pose à côté de moi deux pinces à seins reliées par une chaînettes et attrape mes tétons entre le pouce et l’index de chaque main, puis se met à les tordre ...