1. Mes chaudes soirées en déplacement (1)


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Gay

    Homme, soixante deux ans, marié. Je m’ennuie au lit avec ma femme, et je profite de mes déplacements professionnels pour avoir des aventures sans lendemain. Trouver des femmes n’est pas chose facile, et j’ai compris depuis longtemps que pour être sûr d’avoir un partenaire il faut se tourner vers les hommes; cinémas X, sex-shops, hôtel, j’ai rarement été déçu. Cette fois-ci j’ai un déplacement programmé de quatre jours dans une grande ville, et je m’empresse de chercher un lieu de débauche sur internet. Je frappe "sex-shop" + la ville, et je découvre le meilleur des endroits que je n’ai jamais vu, un lieu de rencontre entre hommes, super équipé pour des plans soft ou hard (cabines, salons ouverts ou privés, glories-holes, accessoires pour sm, ...). Ca m’inquiète presque, mais le soft et le hard se trouvant sur deux niveaux différents, je m’en tiendrai au premier. J’attend avec impatience ma virée loin de chez moi, et le jour arrive enfin. Comme à chaque fois je pars la veille, prétextant à ma femme vouloir être en place, et en forme, le matin du premier jour; en fait c’est pour m’accorder une soirée de plus. J’arrive sur place en fin d’après midi, je dine de bonne heure, et à vingt heures je suis dans ce sex-shop très spécial. Je paie mon entrée, dix euros, et on m’offre deux petit sachets: un préservatif et du gel. Je fais un premier tour pour repérer les lieux. Il fait sombre mais on s’y fait, et puis certains endroits sont plus éclairés que d’autres. Il y a quatre ...
    ... cabines, deux libres, une occupée et fermée, la dernière occupée et entre-ouverte: j’y vois un mec assis, de mon âge, le froc aux chevilles, et qui se branle. Il y a de plus grandes salles, ouvertes, avec canapés, lits, miroirs. Il y a d’autres salles qui ferment à clé pour plus d’intimité. Partout des écrans télé qui diffusent des film gay, avec parfois la participation de femmes. Partout aussi des poubelles et des boites de mouchoirs papier. Il y a très peu de monde, et je n’ai croisé que deux hommes qui errent comme moi. Je repars dans une cabine vide pour regarder un film. Je tombe sur un mec balaise, la quarantaine, carrure de rugbyman, et qui pompe une jeune et magnifique transsexuelle. C’est trop beau, ça me donne envie, il me faut une queue. Je ressors et vais deux cabines plus loin. La porte est entrebâillée et le mec de tout à l’heure se branle toujours. Je sais par expérience que si je veux une aventure, il faut la provoquer. Trop souvent les hommes se croisent dans ces lieux, sans oser s’aborder, faire le premier pas, et ils finissent comme des cons, en solitaire. Je n’y tiens pas, et j’entre dans pièce et m’accroupis pour le sucer. Je me penche sur son sexe et me rends compte qu’il porte des bas, ça m’excite encore plus. Je le prends en bouche, le pompe en caressant ses cuisses et son cul, du moins ce que je peux. Il s’est mis du gel, mes doigts glissent entre ses fesses; la salope, je suis sûr qu’il aime la queue lui aussi. Je veux en avoir le cœur net: — Tu suces? — ...
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