1. Une belle journée de printemps


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fhh, couple, inconnu, facial, double, Partouze / Groupe fsodo,

    C’est une belle journée de printemps, la première depuis des jours. Les nuages ont laissé place à un ciel limpide, le soleil réchauffe agréablement l’air, la vie est belle. C’est ce qui m’a donné envie de repasser à la maison pour récupérer ce dossier oublié ce matin. Je n’en ai pas spécialement besoin mais c’est bon de s’aérer un peu quand il fait aussi beau. La route est dégagée en ce début d’après-midi, mon village est en vue, puis ma rue et enfin ma maison. Achetée il y a dix ans, pour une bouchée de pain, elle en vaut maintenant le double… Une belle superficie, un grand terrain planté d’arbres fruitiers… Dans à peine un mois, ils seront en fleur. Je gare la voiture devant le portail. Il est fermé et comme je ne vais pas rester longtemps, pas la peine de me compliquer la vie… Et puis marcher me fera du bien. Je m’approche de la maison, je la contourne pour rentrer par la terrasse arrière. Je sais qu’il y a de grandes chances pour que ma femme y soit. Nous sommes mariés depuis 15 ans, nous avons trois enfants qui sont en ce moment au collège ou à l’école. Sophie est restée une femme très attirante, brune, élancée, elle est bien faite et assume parfaitement sa féminité, n’hésitant jamais à se mettre en valeur. Elle affectionne la lingerie fine et coquine, les tenues courtes et moulantes. Une femme extraordinaire. Nous avons une sexualité débridée, Sophie est très curieuse et ouverte aux nouveautés, du moment que ça reste dans notre couple. Sophie n’est pas sur la ...
    ... terrasse, mais la baie vitrée est grande ouverte et il me semble entendre la télévision. Je rentre au salon, lui aussi désert. Je me dirige vers les chambres et je m’apprête à appeler lorsque je perçois des bruits… Gémissements, gloussements, je ne sais pas trop mais j’ai la nette impression que c’est… Sexuel, c’est le mot qui me vient à l’esprit… Et c’est tellement évident que ça me fait frissonner. Je progresse dans le couloir, la moquette étouffe le bruit de mes pas… Notre chambre est au fond du couloir, la porte est entrouverte, je découvre la scène. J’ai d’abord du mal à distinguer, je ne vois pas en direct mais grâce au miroir qui orne le mur… Je pense d’abord à un homme en train de prendre ma femme en levrette. Mais le nombre de bras ne colle pas, puis tout devient clair… Il y a un homme allongé sur le lit, elle le chevauche, un autre est au-dessus d’elle, il la chevauche. Ils doivent avoir la bonne quarantaine, pas des athlètes mais ils ont l’air d’y aller de bon cœur. De son côté, elle n’a pas l’air gênée de sentir ces queues s’agiter en elle. En fait, elle a l’air d’aimer ; je distingue ses paroles, elle en demande plus, plus fort, à fond. Je ne suis pas jaloux, je ne suis pas triste, je ne me sens pas trahi. Je n’ai pas de rage, pas d’amertume. Je suis excité. J’ai toujours fantasmé en l’imaginant avec deux hommes et là, je suis en plein dedans. Je ne vois pas grand-chose de là où je suis, mais je sais que si maintenant, j’ouvre la porte, ils ne me verront pas. Ils me ...
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