Une soirée qui dérape - Histoires de Sexe

Une soirée qui dérape

... savais que ce soir j’allais pouvoir te pousser un peu… On s’est vite retrouvés sur l’autoroute. J’ai reculé ton siège et je t’ai demandé, ordonné de te laisser aller et de fermer les yeux. Tu as de toi-même mis une jambe sur le tableau de bord. J’ai commencé à humidifier mes doigts. Tu étais trempée. J’ai joué avec ton clito comme tu adores. Je ne sais plus comment tu t’es retrouvée avec le haut ouvert, mais quand je te vois maintenant te caresser doucement à ma demande, avec le haut ouvert, je me dis que tu es vraiment salope. Ma salope. Tu as toujours les yeux fermés. II y a peu de monde sur la route. Je me mets sur la file de droite et je ralentis pour profiter de toi. Je guide ta main pour que tu t’enfonces des doigts. Je sais à quel point tu aimes avoir une bite en toi. J’ai beau ralentir, je suis obligé de doubler les camions qui se traînent sur le côté… Au bout du troisième camion, je commence à me dire que c’est dommage qu’ils n’en profitent pas plus. Tu es loin de toutes ces considérations, tu fais juste attention de pas jouir, je t’ai demandé d’attendre, alors tu alternes caresses sur le clito et pénétration de doigts en te mordant la lèvre la tête sur le côté, les yeux fermés. Tu as un mouvement de surprise quand j’allume le plafonnier. Tu me regardes, et je t’invite à continuer en remettant ta main en place. Je sais quand je te dis « fais-moi confiance » que tout se joue maintenant. Tu sembles hésiter, et tu reprends ta position. Le prochain chauffeur va être ...

... heureux. Je laisse la lumière allumée et je passe à côté d’un camion. Je ne sais pas s’il m’a vu. Le suivant, je fais différemment, arrivé à sa hauteur, je me cale sur sa vitesse et je le laisse un peu te regarder… je fais plusieurs camions comme ça. Certains klaxonnent, ce qui te fait à chaque fois sourire. Un camionneur a même pris une photo avec le flash, ce qui me gêne pas, je sais que d’en haut il ne peut pas voir ton visage. C’est bien la première fois que je suis content de ne pas avoir le toit ouvrant. Je pense que ce que je préfère c’est les camionnettes, car je vois directement leurs réactions quand je me mets à leur hauteur, je t’ai même surprise à regarder un conducteur. Le jeu te plaît de plus en plus. Tu as de plus en plus de mal à te retenir, surtout depuis que j’ai commencé à te pincer les seins. Je regrette de ne pas avoir mis le téléphone à filmer. Je commence à avoir vraiment très mal à la queue. Je ne tiens plus et je vois une aire de repos. Je sais que je vais te baiser là-bas et si je veux me faire sucer avant je dois donc trouver un endroit à l’écart. Je me gare au fond du parking. Je recule mon siège et t’ordonne de me sucer. Je sais que tu veux ma queue, mais j’en ne m’en soucie pas. Je veux profiter de ce moment. Je t’enlève le haut et sors tes seins pour pouvoir les caresser. Même si n’en a pas besoin, je te maintiens la tête et te baise littéralement la bouche. Je te demande de te caresser en même temps. J’entends tes gémissements étouffés sortir de ...