J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (5)
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
Zoophilie,
La remontée vers Paris fut longue. J’étais prise par une frénésie de sexe qui ne me quittait plus et bien souvent, tout en conduisant je mis la main entre mes cuisses. Quelle conne ! Pourquoi avoir mis un pantalon ? Le soir, ayant déjà commencé à ranger quelques affaires, je contactai mon amant-fiancé par snapchat en lui envoyant des photos suggestives auxquelles il répondit par des images de son bout en gros plan. Fatiguée malgré tout, je regagnai ma chambre mais le sommeil ne vint pas. Je passai un très long moment à me caresser et j’eus l’envie d’un gode. Et je n’avais aucun jouet sexuel à la maison ou rien qui pût faire l’affaire, pas même un concombre, ni même un manche à balai, peu pratique et trop fin d’ailleurs. Il était très tard, mais j’avais besoin d’une queue, d’une grosse, d’une bonne.... Je décidai donc de tenter ma chance. Je mis un chemisier léger, la jupe la plus ample dont je disposai et des chaussures confortables... et aucun sous-vêtement. Au dernier moment, je pris une veste légère histoire d’emporter de l’argent et mon portable dans une poche. Qui sait, certains sex-shops restent peut-être ouverts toute la nuit et j’y trouverai bien un partenaire en latex à défaut de mieux. Mon portable me renseignerait pendant ma promenade. Il était déjà 1 H 30. L’air était doux, mais les rues désertes à cette heure. Je fus tentée de prendre le métro mais je risquai d’attendre longtemps et d’y perdre de précieuses minutes. Je croisais quelques couples ou même quelques ...
... hommes seuls et il me semblait que tous les mecs me dévisageaient et se retournaient sur mon passage. Je rencontrais même un mec qui sortait son petit chien et celui-ci tira fortement sur sa laisse pour se rapprocher de moi. Il se dressa sur ses pattes arrières et je pus voir son sexe en érection. J’étais finalement contente de faire mon petit effet mais déçue par la taille du chien qui n’aurait pas pu me satisfaire... quant à son propriétaire, à un je ne sais quoi dans son attitude, il me sembla qu’il était gay. Donc foutu de ce côté là aussi. Comme il ne se passait rien, je décidai donc d’aller tenter ma chance dans un magasin ouvert 24/24 et dont j’avais trouvé l’adresse.C’était la boutique d’un club ouvert toute la nuit mais je pensais qu’on me laisserait entrer quand même. Je hâtai donc le pas vers cet eldorado. Tout à coup, en longeant une longue palissade, de celles qui entourent les chantiers, j’entendis aboyer. Un aboiement sourd, profond, celui d’un gros mâle, court, puissant... mais il me sembla que le chien me suivait derrière la palissade. J’aurais bien voulu voir. Je fis donc le tour pour trouver l’entrée de ce chantier gigantesque. J’en fis le tour mais je ne trouvai rien, et pourtant, puisqu’il y avait un chien à l’intérieur, il devait être rentré par une faille. Parfois, je n’entendais plus rien, puis un grognement sourd reprenait juste derrière le mur de bois. Je m’arrêtais, le chien s’arrêtait. J’avançais, il avançait. Alors j’appelais : - viens, le chien, ...