2 Poèmes + Dialogue du vagin et du pénis (1)
Datte: 25/08/2021,
Catégories:
Erotique,
... Effrontée exhibant à ma curiosité, Tes appas délicieux lentement dévoilés. Offre-moi en entrée le galbe de tes seins ; Que leur pointe dressée attise mes pensées. Présente-moi ensuite la chute de tes reins, Plantée devant mon nez, le fessier bien cambré, Généreusement servi à mon regard comblé. Offre-moi en dessert, suprême gourmandise, Assise, cuisses ouvertes, l’image de ton calice. Pour que s’épanouisse cette rose magique, Caresse ce sillon de tes doigts baladeurs Etires-en les pétales, pour m’en montrer le cœur. Cet intime spectacle a l’art de m’inspirer, Alchimie de l’esprit, images transposées, Rassemblant en photos, peintures ou moulages, Au corps féminin, comme un ultime hommage. Tel je suis un artiste, tel je veux être aimé. Pygmalion, alias Claude DIALOGUE DU VAGIN ET DU PENIS — Bonjour, on se connaît ? — Bonjour, je ne crois pas. — T’inquiète, on va pas tarder à rentrer en contact. — Oh pas si vite !... et puis tu vois bien que je suis occupée, un peu de patience. — Oui, je vois bien ces doigts qui te taquinent, ils veulent me ressembler parce qu’ils sont toujours rigides et articulés, mais ils sont filiformes à côté de moi. Ils doivent s’y mettre à trois ou quatre pour te combler, là où moi tout seul suffit à te réjouir !... — Flop, gloups... — Oh, l’ami !... où es-tu passé je ne te vois plus, ne t’entends plus !... yryggim Le salop, il m’a lâché pour une conne de bouche !... Celles-là, des garces, elles n’ont aucune religion, elles traînent partout et gobent ...
... tout ce qui se présente. Qu’ont-elles de plus que moi ? Mais, oh ! là, qu’est-ce qui m’arrive, je suis toute chavirée... — Oh, c’est chaud, c’est mouillé, oh !... c’est bon, ouiiii !... que c’est bon... ouhouh... Mais c’est une langue qui vient me visiter et me caresser les parois... hum, elle est ferme et s’agite dans tous mes recoins... hum ! C’est bon... Et les lèvres de cette bouche, que font-elles ? Oh ouiii... elles pincent et m’étirent mes petites lèvres qu’elle aspire. Et maintenant c’est la langue coquine qui vient habilement décalotter mon bouton, le chatouiller pour le faire se dresser ... — ahahah... ouiii que c’est bon ça... ouiii... Je jouiiiis ! Ah et puis je sens deux doigts, et puis encore deux qui m’écartèlent... grande ouverte la bouche revient et la langue me pilonne comme une malade... hum que c’est bon tout ça... quand je pense à ce prétentieux de pénis qui croit faire toutes ces bonnes choses à lui tout seul !... Même si je ne le connais pas encore celui-là, j’en ai vu tant d’autres que je peux te dire qu’ils sont tous pareils, plus ou moins grands, plus au moins gros, toujours raides au début, toujours mous à la fin, dès qu’ils t’ont envoyé la sauce, quand ils ne se retirent pas avant, te frustrant d’une dernière jouissance. Encore, les habitués, y a rien à dire, mais les inconnus, ils arrivent cagoulés et rentrent chez toi sans se décoiffer, font leur affaire dans leur cagoule et se décoiffent à la sortie... quelle éducation !... La bouche et les doigts ...