1. L'artiste est mon beauf


    Datte: 25/08/2021, Catégories: fh, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme extraconj,

    ... euphorique et boute en train, moi qui suis « sage » en général j’ai laissé tomber les barrières des convenances. Peut-être est-ce dû au fait de savoir mon époux et ma sœur partis ensemble. De ce fait, Roland s’est retrouvé avec son bloc à dessin, ses fusains et m’a proposé de faire mon portrait. Comme je ne suis pas sans savoir qu’il a un sacré coup de crayon et qu’il m’a proposé de faire un dessin de moi pour offrir à Charles, je n’ai pas tardé à accepter. Nous avons donc mangé et (bien) bu et voici qu’en ce début de cette chaude après-midi nous nous installons dans la véranda. Je suis habillée, en raison de la moite lourdeur, d’une jupette de tennis noire et d’un corsage mi-transparent dans les tons beiges par-dessus mon bikini. Roland, quant à lui, ne porte qu’un maillot de bain. J’ai défait un bouton de mon col quand arrive cette phrase : – Là, échancre un peu plus ton col. Tout d’abord surprise, je le regarde et il insiste en m’expliquant que non seulement le dessin sera plus joli mais qu’en même temps il ne pense qu’à mon bien-être par cette température. C’est vrai qu’il fait terriblement chaud et donc ma main ôte un bouton de plus. Roland se lève et vient ouvrir mon chemisier lui-même, découvrant la naissance de mes seins. — Euh, ce n’est pas trop décolleté, là ?— Mais non, mais non. Et puis si tu ne trouves pas ça à ton goût on pourra toujours organiser une autre séance de pose. Il regagne son tabouret d’artiste et se met en devoir de "me coucher sur le papier." ...
    ... Rassurée par ses propos, après tout c’est lui l’artiste, je le laisse faire en pensant que moi j’ai le nez carrément sur ma poitrine mais je me donne bonne conscience en pensant que la perspective peut être tout autre selon l’endroit où on est placé. Après un peu plus d’une grosse demi-heure (à moins qu’il ne s’agisse d’un petit trois-quarts d’heure) mon beau-frère m’appelle pour me faire voir son œuvre ou plutôt devrais-je dire ses œuvres. En effet, c’est bien moi. Je me reconnais bien avec ma chevelure à la lionne, hirsute, mon nez mutin, ma bouche que j’aurais souhaité avoir plus pulpeuse et même le décolleté qui ne paraît pas outrancier, même s’il est assez prononcé. Non, en revanche je reste bouche bée devant l’autre esquisse : toujours la même chevelure, les mêmes traits mais là, je suis seins nus ! Roland me regarde avec un petit sourire. – Est-ce que ça te plaît ? – Bah, à franchement parler, le premier me plaît bien mais pour l’autre… – Quoi ? Je n’ai fait qu’imaginer tes seins, j’espère que tu ne m’en veux pas. – Si encore c’étaient bien mes seins mais là même pas. Tu les as fantasmés. En réalité ils sont plus lourds et avec une aréole plus large et beaucoup plus sombre. Mais pourquoi vais-je lui raconter ça ? Ce doit être l’effet de la boisson. –Ah, j’ai eu peur que tu ne sois fâchée, s’exclame Roland, te représenter avec tes atours dévoilés m’a fait quelque chose. En effet, quand il se lève j’ai droit à un spectacle édifiant : mon beau-frère bande, et il bande pour moi ...