1. Confessionnal


    Datte: 25/08/2021, Catégories: f, fh, religion, fsoumise, hdomine, Masturbation bougie, fouetfesse, théatre,

    Acte 1. Un prêtre et une jeune femme sont dans un confessionnal. Scène unique Les rideaux sont tirés. La femme est à genoux. Elle Depuis bien des années j’écoute vos sermons Que vous tenez, sévère, combattant les démons Que notre société permissive tolère Moins portée aux vertus qu’à paraître et à plaire. Votre réputation de prêtre intransigeant Vous précède de loin, vous fait aimer des gens. Souvent vous avez su grâce à vos homélies Raviver bien des fois qui s’étaient amollies. Vos discours enflammés pourfendant le péché Par lequel vient la mort de l’âme desséchée M’ont attirée à vous pour une affaire sensible : Je viens m’accuser d’une transgression horrible. Mon Père je viens ici car je dois avouer Avoir très gravement la religion bafouée, Car hier soir des envies ont travaillé ma chair, Mon entrejambe était chaud comme une torchère. Derrière la grille de ce confessionnal Où je viens m’accuser, pécheresse vénale, Vous parlant à voix basse, tant le mal est odieux, Je crains de courroucer notre tout puissant Dieu. Cédant à la luxure je me suis adonnée, Puisse Dieu dans le ciel maintenant pardonner, À ce péché mortel appelé onanisme. J’ai cédé à l’appel de l’honteux l’hédonisme. Tel Onan répandant son sperme sur le sable J’ai eu cette impiété dont je suis responsable En dehors du mariage, sans même un partenaire Mes doigts en zone impure hier se promenèrent. Prêtre Cela n’est pas si grave vous êtes jeune encore. Il faut laisser du temps pour permettre d’éclore Vos ...
    ... sensations intimes avant de rencontrer Un homme qui saura dans votre vie entrer. Elle Dans la zone sensible mon doigt s’est égaré. Un plaisir diabolique soudain s’est déclaré. J’étais comme saisie par un ange infernal Qui me tenait la main, sorcier libidinal. C’est Satan en personne qui a pris possession De mon corps ; je le dis à vous en confession. Le malin m’a forcée à insérer un doigt Au fond l’orifice dont parler on ne doit. Je n’ose aller plus loin dans le récit obscène ! J’ai commis sur moi-même la forfaiture malsaine. Cette dépravation fait de moi une putain. Je cuirai en enfer si c’est là mon destin. Prêtre Vous devez avouer pour que je puisse absoudre Votre péché afin de n’encourir les foudres Du châtiment divin : la sentence éternelle Vient menacer votre âme par la faute charnelle. Quel trou évoquiez-vous, est-ce celui de devant, Ou bien l’autre à l’arrière ; ce n’est qu’en décrivant Avec exactitude ce fol égarement Que je pratiquerai sur vous mon sacrement. Elle Comment vous dire mon Père : c’est successivement Que mes doigts s’égarèrent et très lascivement Je les ai insérés dans les deux ouvertures. Je vous révèle là ma perverse nature. Voyez-vous les mots manquent pour décrire le geste. Me reste-t-il une chance que le courroux céleste M’épargne après la mort, et que le purgatoire Ne me soit infligé qu’à titre transitoire ? Ou suis-je condamnée à subir les tourments De mille diablotins brûlant sadiquement Les damnés dans le feu qui jamais ne s’éteint ? J’encours ce ...
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