Les démons de Noémie (5) - Histoires de Sexe

Les démons de Noémie (5)

... s’accroupit, face à lui. Elle ouvrit largement sa bouche et la bite gonflée toucha son menton. D’une main, elle se branlait rapidement. Michel, qui avait récupéré son mouchoir, s’épongeait encore le front ruisselant de sueur. Il s’astiquait lentement, devant la bouche de la belle philippine. — « Ouais, petite pute, tu vas avoir du jus… Oh ouais, putain, c’est bon, avales tout ! », cria-t-il tandis que de longues giclées blanches s’écrasèrent sur le visage de Noémie et remplirent sa bouche. Elle eut un spasme violent et poussa un long gémissement de plaisir, sa main allant très rapidement entre ses cuisses écartées, alors que du sperme dégoulinait de ses lèvres et maculait ses seins. Elle était pantelante, les yeux fixés sur Michel, qui la regardait avec un très grand mépris. — « Tu diras à ton futur beau-père que je suis passé. Je vais pas attendre que ce connard revienne.Il sait pourquoi je suis venu. » — « D’accord, monsieur... », murmura Noémie, le visage plein de foutre. — « Si tu passes par le PMU au coin de la rue en bas, viens me voir, c’est moi le patron... J’ai des amis qui t’adoreraient... », dit-il avec un ton sec, presque haineux. Noémie ne répondit pas. Michel reboutonna son pantacourt et disparut par la porte vitrée. René en profita pour revenir dans le salon. — « Eh ben ! Qu’est-ce qu’il t’a mis, cet enfoiré ! », ricana-t-il. « Mais, tu m’as bien aidé, ma grande, et t’as bien pris ton pied en plus ! T’aimes quand on t’insulte alors… Et quand on te baise bien ...

... fort… Bon à savoir... » Le désir de Noémie était redescendu en flèche et son visage exprimait à présent une profonde colère. Il l’avait utilisé comme un jouet, pire, comme une vulgaire pute. Elle était tout aussi en colère contre elle d’avoir aimer ça et d’avoir joui autant. — « Je t’explique : Michel, c’est le mari de ma sœur, et c’est lui qui « gère » ses affaires. Il y a une maison familiale que je convoite mais qu’ils refusent de me céder, pour en garder les avantages financiers. » — « Et qu’est-ce que ça à voir avec moi ? » — « Très simple. Michel me déteste et déteste tout autant mon fils. Ce qui explique qu’il t’ait baisée comme il l’a fait, trop heureux d’humilier la copine de son neveu et de le faire cocu par la même occasion. La tentation était trop grande. J’ai tout enregistré et je vais pouvoir le « convaincre » de changer d’avis sur la maison... » Géraldi était un salaud de maître-chanteur. Noémie se rendit compte qu’elle avait servi d’appât mais aussi qu’elle était également maintenant à la merci de cet homme sans scrupule. — « Tu ne maîtrises pas ce qui t’arrive, pas vrai ? J’ai remarqué à quel point tu te détestais après. Comme si tu avais deux personnalités. Tu ne sais pas non plus pourquoi ou comment ça t’arrive je suppose ? » — « Non. », avoua-t-elle, la mâchoire serrée. — « Intéressant. Je vais étudier la question, peut-être qu’on va pouvoir s’aider mutuellement... » Lui, un allié ? Noémie n’y croyait pas du tout. Il lui proposa de prendre une douche avant ...