Un stage de formation intensive
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
inconnu,
sauna,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
échange,
aliments,
extraconj,
... et moi avons dû masturber chacune un inconnupour le neutraliser, en repoussant des mains fort baladeuses, nous quittons la boîte et une fois de plus, je suis larguée chez moi. Je n’ai toujours pas fait l’amour « normalement » avec mon nouvel amant ! Mon avant-dernière semaine de stage se termine tranquillement, j’ai quelques séquelles de douleur quand je m’assieds suite au traitement subi ! Mon boss a pris l’avion le vendredi à midi pour ne revenir que le mardi matin de Nice. Finalement, au mois d’août, l’assistanat de direction relève pour moi de la routine, du moins dans la journée. Alors que je fais tranquillement ma lessive ce soir-là, vers 20 h, on sonne à l’interphone. C’est pour des fleurs. J’ouvre et découvre un jeune livreur avec un magnifique bouquet : vingt roses rouges extraordinaires. Je le fais entrer, et vais chercher un vase à la cuisine. Un petit mot accompagne le bouquet ; je reconnais l’écriture, fine et un peu heurtée. J’en reste chavirée. — Une rose pour chacune de tes années… Jacques n’a pas signé, mais de l’autre côté de la carte est écrit : — N’oublie pas de gratifier le livreur… Le garçon est debout, à l’entrée de la cuisine, les yeux exorbités. Il faut dire que je suis nu-pieds, vêtue d’un petit short en jean et d’une chemise indienne qui baille sur ma poitrine. Je le fais asseoir et lui propose un coca qu’il accepte. Je m’amuse un peu de son regard sur mes seins qu’il peut apercevoir au gré de mes mouvements. Je le fais parler. Il aide pendant ...
... l’été ses parents qui gèrent leur magasin de fleurs situé à deux pas de chez M. et Mme Lelievre, leurs meilleurs clients. Je suis sa dernière course. Je m’étire langoureusement, le frôle en le resservant, il souffle, il est tout rouge. Je m’assieds près de lui et lui demande : — Elle te plait ma poitrine ? Tu veux la voir, la toucher ? Il ouvre une bouche de poisson s’asphyxiant. Je prends sa main et la pose dans l’échancrure de ma chemise. Tétanisé, il ne bouge même pas. Je remue un peu, et ses doigts s’animent, me flattant le téton, m’enveloppant le sein. Je fais glisser mon vêtement, son autre main s’anime. Il me triture les seins maladroitement, presque violemment. J’attire son visage vers ma gorge, il me suce, m’aspire, me tète comme un bébé goulu. Je redoute qu’il me laisse des marques avec un tel traitement, et dois le repousser pour un peu m’éloigner. Les yeux plongés dans les siens, je glisse une main vers son jogging, que je baisse avec son caleçon. Le jeune sexe émerge, je le prends dans ma main. Et là, n’en pouvant plus, il crache de longs jets de semence jusque sur ma poitrine. Il me demande pardon, je le nettoie tendrement, remets ma chemise. Il a compris, la séance est finie, mais j’ai obéi à mon boss. Nous avions décidé, avec Carla, de faire du shopping le samedi après-midi. Au déjeuner, elle me raconte qu’elle a rencontré Charles de Courson lors d’un stage l’année précédente, et que leur liaison dure depuis ce temps, mais qu’elle est beaucoup moins intense en ...