Une soirée à la ferme
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
2couples,
fbi,
hbi,
couplus,
vacances,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
... matin de la trouver ébouriffée, voire complètement hirsute ; elle est un peu brute de décoffrage et ne doit pas consacrer beaucoup de temps à sa toilette. Ils ont deux beaux enfants en bas âge. Même s’ils ne montrent pas leurs sentiments en public, à leurs regards, on sent qu’ils sont très complices. — Il faudra que vous veniez dîner un de ces soirs, réclame la campagnarde. Mon mari serait enchanté d’avoir de la visite. Il vient de la ville tout comme vous et s’ennuie un peu dans ce trou perdu. Moi, ce n’est pas pareil, je suis née près d’ici. L’invitation est très gentille. Josette a les cheveux gras et crasseux mais un joli sourire qui la rend vraiment craquante. Je comprends que son David de mari ait tout laissé tomber pour elle. Même si ce n’est pas la plus belle des femmes, son sourire est désarmant et fait vite oublier ses allures un peu abruptes. La ferme était à ses parents, lui auparavant était courtier en assurances. Un jour, il est passé par là et a tout plaqué pour ce petit bout de femme. Comme je le comprends ! Il a appris le métier de la terre et, sans rouler sur l’or, ils ne se débrouillent pas trop mal. Le gîte leur appartient et leur assure un complément de revenus. « Ça met du beurre dans les épinards », comme dit la terre à terre Juliette. Nous voici donc un soir à la table de nos hôtes. L’ambiance est à la bonne franquette, le menu est copieux et David a sorti quelques bonnes bouteilles qu’un de ses voisins lui a confiées. Une fois les enfants couchés, ...
... l’atmosphère devient nettement plus décontractée. Nous passons au salon pour le dessert. Une fois le café servi, Josette s’allonge langoureusement sur la banquette et pose sa tête sur la cuisse de son mari. — Ma femme vous a aperçus dans le petit sous-bois… Depuis, elle ne me parle que de ça, nous confie ce grand gaillard. Il pose une main sur sa poitrine et lui caresse doucement un sein. Le petit sous-bois… celui-là même où nous avons été plusieurs fois pour faire l’amour. Marie-O, je l’y ai exhibée et fessée, c’est là également que je l’ai attachée à un arbre avant de l’enculer… Elle a dû en voir des vertes et des pas mûres, la Juliette. Maintenant son sein est complètement sorti de sa liquette, la coquine ne porte apparemment pas de soutien-gorge et est disponible aux attouchements de son mari qui fait rouler entre ses doigts le globe plutôt molasse. Nous n’aurions jamais pensé que la soirée puisse se terminer ainsi. En venant ici, nous pensions beaucoup plus à un moment sympa, agréable mais très conventionnel. Mais quand Josette allonge à son tour son bras et que nous la voyons poser sa main sur la bosse de son mari, plus aucun doute sur leurs intentions. Forcément, cela nous donne à nous aussi des idées. Je remonte lentement le long du dos nu de ma femme, je sais que cela lui donne ainsi des frissons ; je vois qu’elle est un peu troublée. Elle se retourne vers moi et nous nous embrassons. J’en profite pour dégrafer son soutien-gorge : — Marie-Odile, si tu montrais tes seins ...