Soirée étudiante : l'apprentissage continue - Histoires de Sexe

Soirée étudiante : l'apprentissage continue

... après une vie de jeune fille très sage elle devenait une femme assumée, s’amusait tout en réussissant ses examens grâce à un sérieux conservé quand il le fallait. Chauffée, Marie finit par s’abandonner à un jeune mâle à peine plus âgé qu’elle, un de troisième année qui, avec d’autres congénères, tournait autour du groupe que Marie et ses camarades formaient, et ce depuis le début de la soirée. L’embrassade lui fit un effet différent que d’habitude : le jeune homme était fougueux mais maladroit, et elle sentit une certaine raideur au niveau du bassin de ce dernier, ce qui la surprit avant de l’amuser. Alors que la soirée avançait, Marie ne pouvait s’empêcher, à chaque embrassade ou caresse avec son copain, de regarder avec de plus en plus d’insistance en direction du professeur, comme pour voir sa réaction, celui-ci restant de marbre les rares fois où il la regardait. La jeune femme s’amusait, mais elle faisait dès maintenant la distinction entre un homme expérimenté et un jeune étalon en rut. Néanmoins, chauffée à blanc, elle accepta l’invitation à aller s’isoler avec son partenaire pour continuer à roucouler ; elle voulait s’amuser un peu, voir où elle pourrait aller, sans idée précise, avec ce garçon dont elle venait d’apprendre qu’il n’était pas dans la même fac, et qui avait toujours une érection qu’elle sentait chaque fois qu’elle se collait à lui. Néanmoins, dans sa tête, les choses étaient claires : c’est elle qui déciderait où et comment cela s’arrêterait ; c’était ...

... elle, la boss ! Calés dans un coin d’une pièce attenante à la grande salle, à l’abri des regards mais pas loin des évènements, Marie et le garçon se livrèrent un peu, pour la plus grande joie du bonhomme. Pour elle, c’était encore une expérimentation, comme beaucoup d’étudiantes. Elle voulait voir ce qu’elle pouvait ressentir avec un inconnu, ce qu’elle pouvait faire, et ce sans risques pour sa réputation puisque que l’étudiant était d’une autre institution. Mains baladeuses et embrassades furent pendant plusieurs minutes la seule chose que Marie eut à se mettre sous la dent, se demandant s’il fallait qu’elle fasse un signe, se demandant si elle oserait. Elle fut ainsi satisfaite, voire soulagée quand le jeune homme commença à devenir plus entreprenant. Aux caresses douces dans le cou et derrière les oreilles, aux frémissements dans la nuque, il laissa place à des petites passes toujours plus bas, effleurant la peau. La tâche de descendre plus bas était longue car le décolleté était conséquent. Il lui fallut donc plusieurs minutes de patience pour atteindre les bords du vêtement, alors qu’entre ses jambes son sexe se rappelait à lui et que Marie, elle, tout doucement, attendait de voir ce qu’il allait faire, bien qu’elle hésitait justement à le laisser faire. Après avoir glissé sa main sous le tissu, il tomba sans surprise sur un soutien-gorge fin, au tissu continu donc certainement sans motif. Avec cette main gauche, il soupesait la masse chaude, en dessinant les contours, la ...