1. Les femmes de la maison (1)


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Vendredi 20 avril 2018 à 8h30 — Oh bah alors, c’est quoi cette tête Alice ? Tu devrais être contente, ce soir tu es en vacances. Pas de cours pendant une semaine et demie. — Si un matin tu m’annonçais que je viens de gagner au loto j’aurais la même tronche. Je ne suis pas du tout matinale, c’est comme ça. Je savais bien qu’avant 10h, un jus de fruit et un croissant, on ne pouvait pas espérer un sourire voir un bonjour de ma petite sœur. Mon côté taquin prend plaisir à la chambrer quand l’occasion se présente. Et elle ne se gêne pas non plus de son côté. Nous avons d’assez bons rapports tous les deux. Ça nous arrive de se faire des soirées films ou séries autour d’une pizza par exemple mais nous ne sommes pas non plus frères et sœurs siamois, chacun a son cercle social. J’ai vingt-quatre ans, je suis l’aîné, Alice en aura bientôt vingt. — Tu veux me parler de quelque chose en particulier ? — Non, pourquoi ? — Arrête, je te connais. Je te sens perturbée ? — Comment ça perturbée ? — Tu as l’air très pensive ces derniers temps, et pas seulement les matins. Il y’a un truc qui te tracasse dont tu ne veux pas parler. C’est grave ? On te harcèle à la fac ou sur le net ? Tu te sens menacée ? — Non rien de tout ça. — Alors c’est quoi ?! « Bonjour les enfants, vous n’avez pas vu mes clefs par hasard ? Je vais être en retard au boulot » — Tu vas encore les retrouver au fond de ton sac à main comme d’habitude. — Ah oui, merci mon fils, c’est tellement le bordel là-dedans. Allez il faut ...
    ... que j’y aille. N’oubliez pas que ce soir j’ai mon cours de Danse Modern Jazz, je ne serai pas là avant 21h. Faites attention à vous, je vous embrasse. Il est 9h00 quand ma mère claque la porte de la maison. Elle travaille comme secrétaire médicale à une heure de Paris. Je profite de son départ pour reprendre là où nous nous sommes arrêtés. — Alors sœurette, tu peux tout me dire, ça restera entre nous. — Tu es sûr ? C’est quelque chose de très délicat, qui me ronge depuis près d’un mois et... — Et quoi ? — Eh bien...ça te concerne. — Ah bon ?! Comment ça ? — Sincèrement, je meurs d’envie de t’en parler mais il y a une part de moi qui refuse. Le problème c’est que ça me travaille énormément et c’est dur à porter. Quelle est la chose qui me concerne et la perturbe tant ? Un tas de questions m’envahissent. Une chose est sûre, elle en a déjà trop dit. Je dois savoir. — Bon, il faut que j’y aille, j’ai cours à 10h. À plus tard. Me dit-elle en me saluant d’un air embarrassé. — Ok, à plus. Je termine mon pain au chocolat, prends une douche, saute dans un jean’s et me voilà avec une trentaine de CV à la main, traversant la rue pour trouver un petit boulot dans la restauration pour compléter mes cachets de dj, qui en ce moment, se font de plus en plus rare. L’instant démarchage m’a légèrement permis de calmer mes interrogations. Je suis de retour chez moi vers 13h, je mange un petit truc puis j’allume mon synthé, ma boîte à rythmes et continue le morceau que j’ai commencé. À 15h, je ...
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