Séminaire annuel
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
cocus,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
bourge,
... l’éclairage de l’entrée, encore plus resplendissante que durant le repas. Elle est venue se coller à moi, et je dois dire que les minutes qui ont suivi m’en ont mis un coup sur la tête. Je suis d’un naturel décidé. En général, je comprends vite ; et avec les femmes – ou plutôt avec les filles, puisque je n’ai jamais couché avec une vraie femme – je suis toujours à l’initiative. Je sais ce que je veux, je le dis ou je le montre, et je le fais ou je le fais faire. Là, pas le temps. Elle m’a roulé une pelle d’anthologie et s’est immédiatement mise à l’œuvre pour faire tomber mon pantalon à mes pieds. Elle m’a poussé en direction du lit jusqu’à ce que je m’y retrouve sur le dos. Elle est restée debout devant moi, un doigt sur les lèvres pour me dire « Silence… » Elle a ôté rapidement son chemisier. Il n’y avait plus de dentelle en dessous. Quand elle a descendu sa jupe, j’ai aussi pu constater qu’elle ne portait pas – ou plus – de culotte. Ses souliers sont restés au sol quand elle s’est avancée sur le lit à genoux entre mes jambes. Elle a saisi mon gourdin qui déjà me faisait mal. Elle m’a masturbé quelques instants avant de s’avancer à califourchon sur mon bassin pour diriger mon manche vers son sexe que je n’ai même pas eu le temps de voir. Elle s’est empalée, restant droite en se caressant les seins en même temps qu’elle montait et descendait sur un rythme lent. Les yeux fermés, elle ne s’occupait pas vraiment de moi. J’ai eu l’impression qu’elle ne voulait que ma queue en ...
... elle, qu’elle me considérait comme un sextoy, un vibro vivant.« En tout cas,me suis-je dit,elle aime la bite. » Elle serrait son périnée pendant la descente pour le relâcher une fois à fond, et le contractait à nouveau par saccades en remontant. Je ne voulais pas passer pour un gland – enfin, façon de parler – mais avec ce traitement, je risquais fort de ne pas tenir longtemps. Je sentais déjà la sève monter quand elle s’est interrompue. Elle ne s’occupait pas de moi en apparence, mais elle savait très bien ce qu’elle faisait. Elle était venue pour me baiser. Elle s’est enfin allongée sur moi pour une étreinte bien plus tendre. Sa peau sur la mienne m’a fait découvrir une autre sensation. Elle était très chaude, sa peau était très douce. Sa sueur sentait bon ; sa bouche avait pris la mienne et laissait couler une salive que j’ai immédiatement adorée. Je la buvais avec délectation. Elle s’est mise à bouger lentement, tout en m’embrassant, ses mains sous mes bras. Elle me tenait les bras derrière la tête comme pour me dire qu’elle ne voulait pas que je la touche. Ses pieds tenaient fermement mes cuisses, de sorte que je ne pouvais pas bouger. Il fallait que je la laisse faire. Elle gémissait tout doucement à chaque fois qu’elle s’enfilait à fond, et soufflait à chaque montée. Puis son rythme s’est accéléré. Je ne sais rien d’elle, mais j’ai eu l’étrange sentiment de la comprendre, de savoir ce qu’elle voulait. Elle m’a guidé sans un mot. Mais je n’en pouvais plus. Une femme de ...