1. Séminaire annuel


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral bourge,

    ... et écartées. Elle a tapoté le lit entre ses jambes, m’invitant ainsi à la rejoindre. Je me suis jeté sur sa chatte béante. J’avais déjà mangé des chattes, avant ; mais là, j’avais l’impression de découvrir cet exercice céleste. Elle se caressait les seins pendant que je m’occupais de lécher son clitoris, de fouiller son vagin de mes doigts. Son intimité état une offrande totale, sans retenue. À chaque coup de langue je la sentais vibrer, se tortiller. Je n’avais toujours pas entendu un mot depuis son arrivée, mais ses gémissements valaient toutes les déclarations. Je crois qu’elle a joui plusieurs fois ; enfin, c’est ce qu’il m’a semblé. Quand elle a tendu les bras, j’ai compris qu’elle me voulait en elle. Tout de suite. Dans ses bras, j’ai soudain eu du mal à distinguer nos corps. Nous ne faisions qu’un dans cette étreinte charnelle débridée. Plus j’accélérais le rythme, plus elle semblait en vouloir encore plus. Nos sueurs mélangées, nos baves mêlées, nous étions en fusion. J’étais comme dans un rêve, rêve qu’elle a interrompu en parlant pour la première fois, d’une voie saccadée, claire et suave : — Je vais jouir, ne t’arrête plus. Plus tôt, elle avait fait de moi ce qu’elle voulait, m’empêchant de me retirer. Dans cette position, elle avait besoin que je coopère, et n’avait pas trouvé d’autre moyen que la parole pour me dire ce qu’elle souhaitait. J’ai pris un plaisir immense à lui offrir ce plaisir réclamé. Quand elle m’a montré sa jouissance en me griffant le dos à ...
    ... sang, j’ai à peine retenu mon éjaculation pour enfin me libérer en elle, cherchant à ressentir chaque millimètre carré de sa peau et chaque cellule de son vagin en même temps que je jouissais. Une extase pleine, unique, animale. Je me suis endormi. Je ne sais plus dans quelle position j’étais à ce moment-là, mais à mon réveil j’étais seul, en travers du lit, nu et frigorifié. Il était 5 heures. J’ai pris rapidement une douche avant de me loger sous la couette. Impossible de trouver le sommeil cette fois, les images et les sensations de cette soirée revenant en boucle me satisfaire, et la crainte des représailles qui allaient suivre si quelqu’un pouvait identifier celui qui avait baisé madame cette nuit. À 6 h 30 je me suis enfin levé pour aller au petit déjeuner prévu à 7 h, la peur au ventre. La salle était déjà pleine de mes collègues silencieux avalant leur pitance. Madame était face à son époux cocu, le sourire aux lèvres. Ils parlaient à voix basse. Elle m’a regardé, m’a ostensiblement souri. J’ai vite changé de direction pour les éviter. Je n’ai rien pu avaler. Les conjoints étaient attendus à 9 heures pour une excursion pendant que nous rejoignions la salle de conférence pour terminer nos travaux. La journée, pourtant studieuse, a ressemblé pour moi à un calvaire. J’éprouvais un sentiment prégnant de honte, et chaque fois que je croisais le regard de mon boss, j’étais au bord de l’arrêt cardiaque. Il ne pouvait pas ignorer que sa femme avait « disparu » une partie de la ...
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