1. Le retour de la vendangeuse


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, grosseins, groscul, campagne, Oral

    ... valse, elle me dit que l’essentiel était de s’amuser et de se laisser aller, qu’elle saurait « me prendre en mains »… Ça, en mon for intérieur, je n’en doutais pas ! J’avais déjà fait l’expérience de ses prises en mains expertes. Bon joueur, j’ai accepté la danse, et me suis laissé emporter dans ses mouvements étudiés. Nous tournions comme des damnés, et je pus sentir sa poitrine aller et venir contre mon torse. Le vin aidant, j’étais comme subjugué par ce contact si agréable et ne tardai pas à bander. Au bout d’un moment, et alors que nous débutions notre seconde valse, elle dut s’en rendre compte, car elle me sourit et serra plus fort ses hanches et ses fesses contre mon entrejambe éveillé. Nous allions et venions au rythme de l’accordéon et je sentis le bout de mon gland lui caresser les fesses, lui caresser les hanches, chercher son entrejambe alors qu’elle me susurrait à l’oreille que je la rendais folle, mais que nous n’étions pas seuls et que nous devions nous calmer. Lorsque l’accordéon s’arrêta, et alors que tout le monde rejoignait la salle en nous tournant le dos, elle passa sa langue humide sur ma bouche, mordilla mes lèvres. Et alors que je plaquais mes deux mains contre sa poitrine, elle enserra mon sexe de sa paume afin de le caresser et de se le réapproprier, en anticipant le reste de la soirée. De retour à la salle des festivités, tout le monde se dit au revoir. Prétextant une promenade digestive, je dis au patron de ne pas m’attendre, que j’avais les clés, ...
    ... et que je l’aiderai le lendemain à tout ranger. Un peu plus loin, je reconnus la 205 blanche de G. qui m’attendait, tous feux éteints. Je la rejoignis à petites foulées, et à peine fus-je arrivé à la hauteur de la vitre côté conducteur, que celle-ci s’abaissa. G. sortit ses deux mains, et me plaquant contre sa portière, agrippa mon sexe au travers de mon pantalon afin de le stimuler et de le rappeler à son bon souvenir. Du bout de ses doigts, elle ouvrit l’un après l’autre les boutons de ma braguette, plongea sa main dans mon slip et me caressa les testicules d’un geste lent, étudié et appuyé. Sur la pointe des pieds, j’agrippai mon sexe dans ma main et, le pantalon sur les chevilles, lui caressai le visage avec le bout de mon gland. Mais elle ne semblait pas attendre de moi des gestes de douceur… En ouvrant grand la bouche, elle aspira mon sexe tout au fond de sa gorge avant de me branler comme une damnée. Mais ma position n’était pas très agréable, ni propice à profiter de son savoir-faire. Je la fis donc sortir de sa voiture, et tout en l’adossant contre la carrosserie, enfouis ma langue dans sa bouche tout en malaxant sa poitrine de mes deux mains coquines. D’un geste décidé, j’ouvris son chemisier, arrachai son soutien-gorge et à genoux devant elle, tout en faisant rouler le bout de ses seins entre mes doigts, je passai ma langue, à travers l’étoffe de son pantalon le long de son entrejambe. N’y tenant plus, elle enleva son pantalon et son slip et je m’empressai de lécher ...