1. Soumise aux ordres de mon Maître (6)


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... moi, de la femme sage, frustrée à la femelle, la salope qui laisse son corps prendre le contrôle, non, qui laisse Patrick prendre le contrôle.... Quand je me retrouve devant la porte, j’inspire un grand coup et j’expire tous les doutes, tous les freins, tous les tabous. Si je suis là, c’est en toute liberté, je veux être libre. Je rentre, perchée sur mes 13 cm, démarche chaloupée, regard droit et, telle une conquérante, je me laisse guider vers le salon bleu. J’entre. Il est là mais pas nu comme je m’y attendais, pieds nus, pantalon à pince noir, chemise blanche entrouverte, manches retroussées. Tiens, il me plait aussi habillé! Il est debout face à moi, jambes légèrement écartées, les mains le long du corps, mon Maître. A ses pieds, grrrr!, les trois taupes! Elles sont nues, assises une de côté, l’autre en tailleur avec une vue indécente et la troisième, genoux serrés, fesses sur ses talons. - Approche-toi Sophie ! J’avance. Les trois grâces me regardent, je leur jette un œil mauvais. Il rit doucement. - Et tu oses dire que tu n’as jamais été jalouse! Je baisse la tête, coupable. Oui, je l’ai dit, et c’était vrai. - Je sais ce qui est bon pour toi, et moi seul, Sophie ! Vraiment? C’est possible, mon corps réagit à sa voix. Je me redresse, fière et forte. Il sait ce qui est bon pour moi, mais moi, je sais ce qui est bon pour lui. J’avance encore d’un pas en soulevant légèrement le côté de ma robe. Je vois dans ses yeux qu’il a vu. Alors? Ta ...
    ... soumise n’a pas respecté la consigne. Quelle réaction? Je vois la surprise, puis un micro sourire passe sur ses lèvres, vite effacé. Une lumière différente éclaire ses yeux, clignement, et il se ressaisit. D’une voix impérieuse, il me lâche : - Enlève ta robe! Je le regarde, sourire sur mes lèvres, sourire dans mes yeux, malicieuse, un sourcil se redresse interrogateur et devient même provocateur. Je croise les bras, saisis le bas de ma robe et je l’enlève. Pause. Je garde longtemps les bras levés avec mon tissu gris perle au bout des doigts, je le nargue. En sous-vêtements, mes seins semblent moins petits, je bascule mon poids sur une jambe, déhanchement, sourire, et je lâche enfin ma robe. Il reste impassible, non, pas vraiment. Je vois son pantalon se déformer, j’ai réveillé la bête, hummmm ! Il ne peut pas cacher son désir, le long de sa cuisse droite, son bâton prend de l’ampleur. Je suis sûre qu’il n’a rien en dessous. - Tu m’as désobéi Sophie ! Je ne sais pas si tu auras l’honneur de mon corps! Montre-toi docile ! Oh non!, je voulais qu’il craque, qu’il me saute dessus, qu’il me prenne, me tourmente, m’épuise, me lèche, me prenne encore et encore. Je voulais qu’il ait envie de moi, de mon corps, de mes seins, de ma chatte, de mes longues jambes enroulées autour de lui, de ma sueur, de mes gémissements, de ma bouche, de mes yeux. Qu’il voie au fond de moi, qu’il me reconnaisse. Et j’ai tout gâché! Par rébellion, par arrogance peut-être? (À suivre) 
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