1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (1)


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Marie-Charlotte se maudissait d’avoir accepté ce rendez-vous si, loin de chez elle : Versailles/ Sarlat-la-Canéda... cinq heures de route en plein cagnard. Enfin Marie-Charlotte pensait plutôt, “forte canicule”. Parce que Marie-Charlotte parlait bien, très bien même ! Elle avait suivi l’enseignement très bien ( comme dirait ma belle-mère, dans la réalité) d’un lycée catholique de Versailles ; de plus elle évoluait dans un milieu très BCBG, grande bourgeoisie financière. Marie-C était agent immobilier de haut standing, elle recherchait de jolies maisons de campagne, voire de petits manoirs pour de riches clients, souvent étrangers. Après Sarlat, “mais quel trou à merde, et quel nom ridicule “, pensa t ‘elle, elle suivit son GPS jusqu’au petit village, où se trouvait le manoir qu’elle était venu voir. Arrivée en vue du village, une vingtaine de maisons à tout casser, elle se trouva un petit coin ombragé en bord de la petite départementale, pour y fumer une cigarette et appeler l’homme de sa vie, Jean-Michel. La cigarette, c’était la seule "perversion" qu’elle s’autorisait... pour elle pas question de "pipe" ! Au grand désespoir de son mari, plus âgé et plus expérimenté qu’elle. Le pauvre homme devait se contenter du missionnaire et encore 2 fois par mois... c’était une fille très bien... comme dirait ma belle-mère. A peine avait-elle coupé le moteur de sa berline que le tableau de bord s’éteignit, un message d’erreur vint illustrer l’ordinateur de bord. “ Ah mince ( ...
    ... s’exclama Marie-C), mais c’est quoi ce "beans" ? Elle vient de sortir de sa révision bi-annuelle ! C ‘est allemand pourtant ! “ Et quand elle voulut actionner l’ouverture des portes pour en sortir, rien ne se passa. Un peu consternée par sa mésaventure, elle prit son portable pour un appel à son organisme d’assurance. Rien, pas de réseau ! Dépitée, elle sombra dans un profond mutisme pendant deux heures, elle ne savait plus quoi faire... elle réfléchit et repensa aux leçons de son coach en harmonie vitale: “ en cas de panique, respirer et lâcher prise. un événement viendra toujours pour vous sortir de toute situation incapacitante “. Sage conseil, pensa t elle, après tout l’incident mécanique ne pourrait pas durer éternellement… Pourtant après plus de deux heures, le soleil ayant tourné, l’ombre avait disparu. La SLK 300 noire se trouvait en exposition directe, la clim étant hors service. Marie-C commençait à cuire dans son habitacle. Elle, qui ne jurait que par l’air conditionné et qui, de par son enfance surprotégée, n’avait jamais connu de grands écarts de températures… ni la moindre situation pouvant gêner son confort. La sueur commençait à s’insinuer dans ses cheveux blonds magnifiques jusqu’au niveau de son cou, pour aller s’immiscer entre ses seins et ses omoplates, en de petits filets dégoûtants. Marie-C ne supportait pas cette sudation repoussante, qui commençait à imbiber soutien-gorge et chemisier blanc jusque là immaculés. Il devait bien faire plus de 40 degrés dans ...
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