1. Baise surprise sur un chantier.


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... lèvres gourmandes. C’est une jolie femme dans la plénitude de son âge qui sait se faire discrète car elle ne veut pas attiser la jalousie de ses collègues féminines et le désir des hommes. Tout le monde la trouve sympathique, moi le premier car j’aime bien lui confier du travail : c’est bien fait et vite, ce qui me convient tout à fait. Lorsqu’elle me rejoint à mon bureau sur le chantier ce vendredi en début d’après-midi, je suis surpris de voir qu’elle ne porte plus sa tenue du matin. Là, elle est en jean un peu large avec une liquette écossaise glissée dans la ceinture. Devant mon étonnement elle dit : - Je serai plus à l’aise pour travailler ainsi et je ne craindrai pas de me salir ! - OK ! sage précaution ! Nous parlons boutique pendant quelques instants puis nous allons sur le chantier où divers corps de métiers travaillent encore à aménager les abords, allées piétonnières, espaces verts, etc. C’est vrai qu’en dehors du nettoyage, il ne reste plus grand-chose à faire dans les bâtiments proprement dits. Nous travaillons rapidement, je décris les travaux des reprises à effectuer et Karima note les renseignements. Parfois, je prends des photos pour être plus explicite lorsque j’interviendrai auprès des entreprises concernées. Nous ne voyons pas le temps passer ! C’est au moment où nous arrivons dans un des derniers appartements que tout bascule. Je ne sais pas si c’est la chaleur de cette journée de juin ou le travail intensif que nous venons d’effectuer qui en est la ...
    ... cause car soudain Karima s’appuie contre une cloison et elle s’évente avec son bloc : - Je n’en peux plus ! Il fait trop chaud ! Et pour être plus à l’aise, Karima ouvre les boutons de sa liquette, laissant voir son soutif bien garni dans l’entrebâillement des deux pans. Quelle vue ! Elle a une paire de seins de ouf ! (En moi-même je pense que cela va me changer de ceux d’Alice). Et elle continue de se déshabiller en ôtant complètement sa liquette et la vue de ses aréoles bistre au travers du tulle fin de son soutif blanc a vite fait de faire dresser mon barreau de chair dans mon slip au point que ma bandaison est presque douloureuse. Karima ne manque pas de le remarquer : - C’est moi qui te fais cet effet ? Quand je m’approche d’elle, les effluves de sa transpiration montent jusqu’à moi mais elles sont mêlées à cette odeur si particulière d’une chatte humide. Çà achève de me mettre dans les transes du désir ! Oui… j’ai envie de baiser Karima et il est certain que cette coquine n’attend que çà ! En la prenant par le bras pour la diriger vers une des cuisines déjà équipée de ses meubles, je lui dis : - Viens ! Je sais ce que tu veux ! Nous sommes seuls, ne nous privons pas ! Aussitôt je plaque Karima contre un des éléments, son cul est juste à la bonne hauteur. Je fais sauter l’agrafe de son soutif et ses deux beaux seins, bien ronds, d’un blanc laiteux avec des veinules bleuâtres et des tétons très marqués me sautent littéralement au visage ! Je peux m’empêcher d’aller les agacer ...
«1234...»