1. L'étudiante


    Datte: 27/08/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, profélève, grossexe, lunettes, ascenseur, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral init, humour,

    Il était 13 h 10 lorsque j’empruntai l’ascenseur de la faculté de P*** qui me conduirait à ma salle de travaux dirigés. Vêtu d’un costume sombre et d’une chemise blanche, le col déboutonné et ma sacoche sous le bras, je m’apprêtais à donner mon premier cours de la rentrée pour la quatrième année consécutive. J’avais désormais l’expérience de ces rendez-vous délicats et savais parfaitement comment les gérer, sans prétention aucune. Mes étudiants étaient en première année et il me serait facile de les impressionner, d’autant que la consultation de leur emploi du temps m’avait assuré qu’il s’agissait de leur premier TD. Une matière importante qui plus est - la méthodologie - sans laquelle il est impossible de composer un commentaire juridique digne de ce nom. L’élévateur poursuivait lentement son ascension jusqu’au cinquième lorsque les portes s’ouvrirent au deuxième étage pour laisser apparaître une étudiante terriblement sexy. On était fin septembre et la chaleur ambiante offrait encore quelques décolletés généreux ou d’étonnantes minijupes où l’on devinait parfois du bureau le sanctuaire des sanctuaires. Les plus coquines s’en amusaient souvent, car j’avais remarqué que régulièrement, les filles qui s’installaient au premier rang appartenaient à deux catégories : la première était celle des plus sérieuses, résolues à donner le meilleur d’elles-mêmes dans leur participation ; la seconde, en revanche, voyait éclore les meilleures allumeuses, pas toujours les plus mignonnes, ...
    ... il est vrai, mais tout de même très excitantes. Je me souvenais par exemple d’une jolie Élodie qui, peut-être par insouciance, m’avait offert une vue plongeante sur l’étoffe blanche qui masquait sa toison sous sa jupe durant toute une séance. Une heure et demie à tenter de masquer une érection qui ne cessait d’altérer ma mémoire en pleine argumentation. Un vrai calvaire ! Pour l’heure, j’espérais que cette petite étudiante serait tout aussi peu farouche. Juchée sur des bottes de cuir verni, la jeune fille arborait une robe mi-cuisses rouge et lacée dans le dos, d’où s’échappait une paire de jambes au galbe magnifique, de vraies échasses. Ses seins lourds et fermes pointaient sous le tissu de sa robe de coton que je devinais légère comme l’air. Ce que la jeune fille me confirma très vite lorsque, pénétrant à l’intérieur de la cabine de l’ascenseur en roulant des hanches, son petit sac à dos sur l’épaule, elle fit virevolter le bas de sa robe pour dévoiler l’une des jarretières de ses bas fumés. Je sentais déjà l’érection pointer dans mon boxer quand, se positionnant à mes côtés dans une vague de Shalimar, elle me gratifia d’un sourire énigmatique avant d’appuyer sur le bouton numéro cinq à son tour. Son visage, scindé par des lunettes rectangulaires à monture noire, affichait une innocence qui contrastait avec sa tenue équivoque. De larges yeux azur en amandes où papillonnaient des fils d’or, des lèvres fines et roses, divinement surlignées, et un léger maquillage qui affinait ...
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