Ma coloc' Nina (17)
Datte: 27/08/2021,
Catégories:
Hétéro
... tendance, et j’ai trouvé une excuse quelconque pour la punir. Nina n’a pas compris non plus ce qui lui arrivait, mais en fille obéissante, n’a pas protesté. Fatigué par ma journée, je lui ai promis une punition pour le lendemain. Le lendemain, j’ai attendu que Nina s’habille pour l’attraper par les cheveux et la mettre dans la douche, où je l’ai forcée à baisser son jean et à pisser dans sa culotte. Elle s’est exécutée sans problème et je l’ai regardée faire, mais elle a été un peu plus surprise lorsque je lui ai dis qu’elle ne changerait pas de sous-vêtements et passerait la journée à la fac ainsi, mouillée comme une fillette désobéissante. Nina ne comprenait toujours pas pourquoi elle était punie, moi non plus d’ailleurs, mais elle est partie à l’université sans faire plus d’histoire. Le soir, en rentrant, elle m’a dit avoir passé une journée affreuse, sa culotte ayant à peine séché, et surtout, elle sentait l’odeur de la pisse sur elle en permanence, et se demandait si les gens autour d’elle pouvait la sentir aussi. Malgré sa mauvaise humeur, je n’ai rien fait pour aller dans son sens, et lui ai simplement dit que la punition n’était pas terminée. Nina m’a regardée avec de grands yeux, mais elle s’est laissée faire lorsque je l’ai attachée à plat ventre contre la table du salon. J’ai baissé son pantalon à mi-cuisses, et ai découpé sa culotte avec une paire de ciseaux, avant de lui enfoncer le bout de tissu encore humide et puant dans la bouche. Nina grimaçait, je sentais ...
... dans son regard suppliant qu’elle hésitait, pour la première fois, à me désobéir, et à recracher ce bâillon immonde. Elle n’en a rien fait, et le corps tremblant, s’est laissée faire. Puis j’ai écarté ses fesses et j’ai commencé à pousser mon sexe, dur comme jamais, au fond de son anus. Et c’est à ce moment que je l’ai entendue pleurer. Je ne l’avais jamais entendue pleurer avant, et ça m’a retourné l’estomac. Je me suis immédiatement retiré de son cul, le sexe déjà ramolli, et je l’ai détachée et retiré la culotte de sa bouche. Je l’ai alors prise dans mes bras aussi fort que possible, je ne voulais plus la lâcher. Je lui ai fait prendre un bain, et j’ai passé une heure à la laver moi-même. Ce soir-là, j’avais été prêt à la détruire pour simplement conforter ma position de dominant. En somme, j’avais été d’un égoïsme fou, et je me suis rendu compte, ce soir-là, que je devais peut-être me remettre en question. Peut-être que je n’étais pas si dominant que ça, peut-être que ce n’était qu’un rôle dont j’avais rêvé une fois, et que j’avais pensé être réel. Je lavais les cheveux de Nina, osant à peine toucher sa peau, et je me disais qu’en fin de compte, ce que j’aimais, ce n’était pas qu’elle me soit soumise. En fait, je l’aimais. Simplement. J’aimais nos jeux sexuels, dépravés, sans limite. Mais je n’aimais pas la dominer, lui faire penser qu’elle est inférieure à moi. Cet instant-là a été une révélation. Pendant plusieurs jours, je n’ai pas osé la toucher. Nina venait vers moi, ...