1. Première nuit


    Datte: 27/08/2021, Catégories: hh, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, hdanus, hsodo, inithh, Gay

    ... frémissante se dérouler le très mince cylindre, finissant au passage de décalotter le gland. Tombé à genoux, j’ouvris la bouche alors que des deux mains je palpais les délicates couilles, les soulevant, les soupesant, les caressant avec douceur. — Elles se videront en toi, si tu le veux bien, me dit David alors que mes lèvres déposaient un petit baiser sur son méat tout rose.— Oui, je le veux, David.— Relève-toi. Il agrippa mes épaules et glissa ses mains sous mes aisselles pour me contraindre à me mettre debout. Collé à lui, je sentis palpiter sa lourde bite contre mon bas-ventre pendant que sa langue reprenait possession de mon palais. Nous titubâmes un instant. Ses mains à nouveau sur mes épaules m’invitèrent fermement à me tourner face au canapé de vieux cuir. Elles pesèrent ensuite pour que je sois à genoux à même le sol, le buste sur le cuir dont la fraîcheur me fit frissonner. David tomba à genoux derrière moi. Ses mains passèrent sous ma poitrine pour pincer mes tétons pendant que sa bouche mordait mon cou. Il jouait au félin maîtrisant sa femelle. Tout ce qu’il voulait faire de moi, je l’acceptais à l’avance. Il abandonna mon torse. Un doigt se glissa entre mes fesses qui se crispèrent un peu, contre ma volonté. Il gratta l’étroite ouverture avant de s’y insinuer. Je réprimai toute velléité de contraction ; bien au contraire je relâchai ce muscle qui pour la première fois allait recevoir un amant. Le doigt, sans doute humecté de salive, se fit une place sans ...
    ... difficulté et fut rejoint par un second. Ils se retirèrent vite et je compris que c’était désormais le bâton de chair qui cherchait à se frayer un passage. Quelle force douce mais conquérante ! Je m’ouvris comme une corolle au soleil et très vite les couilles de David battirent sur mes fesses une charge haletante. — Tu es étroit, Dieu que c’est bon ! me chuchota David. J’étais content de lui faire plaisir. La légère douleur d’abord ressentie fit bientôt place à la sensation nouvelle et agréable d’être envahi, possédé. Mais possédé parce que je me donnais, tout simplement. David haletait un peu. Ses mains quittèrent le canapé sur lequel elles étaient appuyées pour se glisser sous moi, l’une d’elles saisit mes couilles et l’autre ma verge dure qu’elle pressa. Ce geste suffit à commencer à me faire jouir pendant qu’il grognait de contentement. Très vite ses mouvements se firent plus amples, encore plus vigoureux. — Je t’enfile jusqu’au coeur et je jouis en toi. Secoué de convulsions, son torse nerveux vint peser sur mon dos pendant que sa main crispée sur mon chibre s’activait à me vider de mon sperme. Nous restâmes immobiles un moment, nos corps frémissant à l’unisson. Puis je sentis la verge de David diminuer et se retirer de moi pendant que sa main m’abandonnait aussi. Mon bas-ventre baignait dans le sperme dont j’avais inondé le canapé de cuir. Comment David allait-il se comporter après l’amour ? J’avais souvent essuyé de discrets reproches de la part de filles se plaignant de mon ...
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