1. je couche discrètement avec des matures (1)


    Datte: 27/08/2021, Catégories: Hétéro

    ... dans trois/quatre mn..." Ni une, ni deux j’ai commencé à me déshabiller, ôtant un à un mes vêtements pour fini en slip. Je m’assis dans un des fauteuils de la chambre, et l’attendis. Effectivement, elle revint, uniquement vêtue d’un soutien-gorge, ainsi que d’une culotte couleur beige... Je pus me rendre compte de ses "formes" de femme mature et épanouie... ses seins avaient l’air lourds, ses bras forts, des bourrelets à l’abdomen, mais surtout ce qui me frappait et suscitait ma curiosité, c’était ses hanches larges, ses grosses cuisses, ainsi que son imposant fessier...! Tout ceci ne demandait qu’à être à l’air libre, et peloté, malaxé, pour notre plus grand bonheur respectif... Elle s’avança vers moi lentement. Je pus apercevoir des touffes de poils pubiens qui dépassaient de sa culotte... (Cela a eu le don de m’exciter). Nous nous sommes enlacés, debout, en de longues caresses sensuelles... je pus aussi apercevoir que ses aisselles étaient naturelles. HMMMMMM... J’adore les femmes à forte pilosité... j’allais être servi !! Je sentais mon slip se gonfler petit à petit... je lui dégrafais son soutien-gorge, libérant une belle paire de seins lourds, aux aréoles brunes, petits tétons durs prêts à être suçotés, titillés...! D’une main leste, elle vint me toucher mon début d’érection, tout en essayant maladroitement de me baisser mon slip... je finis par l’ôter moi-même... ; elle fit de même avec sa culotte beige. Là, j’ai pu vraiment m’apercevoir qu’une femme mure dans ...
    ... toute se nudité, est vraiment désirable...! Son pubis était très fourni... L’histoire était lancée, il fallait aller jusqu’au bout...! Elle m’entraina sur le lit sans le défaire, nous nous allongeâmes et continuâmes de nous embrasser, peloter, simplement, sans fioritures... Tandis que nos langues s’entremêlaient, je plongeai ma main dans son bas-ventre,à travers sa toison pubienne pour commencer à l’exciter avec mon doigt. J’écartais ses lèvres un peu charnues et tout en trouvant son clitoris, je me mis à la fourrager en règle.!Elle commençait à mouiller, son désir montait sous mes caresses. De son côté, elle me frôlait le pénis, et me pétrissait les testicules bien remplis... Mon sexe n’était pas celui d’un Apollon (14,5cm, sur quatre centimètres diamètre) mais il était bien épais, et surtout possédait un gros gland, apte à donner du plaisir. Elle le prit en bouche rapidement avant que je ne lui entame un cunnilingus magistral... ma tête enfouie entre ses grosses cuisses, léchant avec excitation cette chatte offerte. Son plaisir montait crescendo, elle commençait à haleter, sons souffle devenait court. J’ai redoublé d’ardeur à lui lécher son sexe maintenant bien humide. Je sentais qu’elle allait bientôt venir; elle me lâcha : "OHHHH, OUIIIIII... c’est bon, c’est bon, il y a longtemps que j’en avais envie... fais-moi jouir... OUIIIIII...!!!! C’est alors qu’une série de spasmes l’emporta dans une jouissance rageuse... Elle jura quelques mots crus, et retomba lascive sur le lit. ...