1. Douce belle-maman


    Datte: 28/08/2021, Catégories: ffh, fplusag, extracon, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, confession, couple+f, bellemere,

    ... répond-elle à la fois soulagée d’avoir deviné et le cœur pincé de ne pas s’être trompée. Mais pas d’inquiétude, je ne changerai pas d’avis, à tout de suite, je vous laisse débarrasser… Et pas de bêtises ! rajoute-t-elle dans un filet de voix. Sans nous laisser réfléchir, elle nous fait un bisou à chacun sur les lèvres. Ne vous méprenez pas, ma femme, qui est fille unique, embrasse ses parents de cette manière depuis qu’elle est toute petite, n’y voyez pas une connotation purement sexuelle. oooOOOooo Nous restons main dans la main, sans bouger le moindre cil, sans émettre le moindre son. Complètement KO par ce qu’il vient de se produire, c’est encore plus puissant que lorsque nous avions décidé d’avoir une relation. Impossible de décrire ce qui allait se passer, de savoir où tout cela aller nous mener. Nous vivions une liaison adultérine, certes pas très conventionnelle, mais une liaison avec des secrets que nous détenions à deux. Maintenant nous sommes liés en même temps par le sang et le mariage. Même s’il n’y a pas à proprement parler de relation incestueuse, c’est plutôt dérangeant de se dire que je ne pourrai plus rien cacher à l’une ou l’autre. Ça ouvre peut-être des perspectives pour certains mais je ne suis pas sûr d’être assez fort mentalement pour supporter deux femmes soudées entre elles. J’espère que je ne finirai pas exclu du groupe ; en fait est-ce que Marine ne nous manipule pas pour faire imploser le tout, en douceur, sans faire de vague ? Pour l’instant nous ...
    ... débarrassons la table, nettoyons et remplissons le lave-vaisselle dans un silence de mort uniquement troublé par les bruits de la voiture télécommandée thermique. Papy et Jules sont désormais dehors, le ménage est terminé. Je suis assis avec Huguette sur le canapé, nous n’avons pas encore parlé. Tout à l’heure j’ai réussi prendre la parole, je me demande encore comment. Là, je n’arrive pas à parler à ma maîtresse, ma confidente. D’habitude si loquace, elle n’arrive pas exprimer ce qu’elle ressent. Deux couillons, deux adolescents, voilà à quoi on aurait pu nous comparer. Je finis par me lancer par une banalité: — Il fallait qu’on soit naïfs pour croire qu’elle ne s’apercevrait de rien.— Ou idiots…— Complètement cons. Tu penses qu’elle est sincère ?— Oui. C’est ça qui fait peur, cette assurance, ce sang-froid, quand elle décide quelque chose, c’est qu’elle y a mûrement réfléchi. Ça me rappelle le jour où elle est venue m’annoncer que vous alliez vous marier, elle était sûre d’elle, malgré mes réticences. Tu sais qu’à l’époque, je ne te portais pas du tout dans mon cœur.— J’ai la même impression que toi, réponds-je. Elle est même très convaincante lorsqu’elle dit ce qu’elle décide.— Eh oui, tu n’as pas répondu négativement à sa demande de mariage. Elle a un caractère bien trempé ma Marine. Je n’ai pas le temps de répondre, elle arrive. Elle est reposée et superbe avec son chemisier encore ouvert et sa robe qui remonte sur les cuisses, preuve qu’elle s’est allongée sur un lit. Sa ...
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