Douce belle-maman - Histoires de Sexe

Douce belle-maman

... Pourtant je me rappelle que tu avais rêvé de ta femme et de ta belle-mère s’occupant de toi ! En disant cela, ses mains quittent mes hanches pour se saisir de mes fesses pour les écarter au maximum dans le seul but de me pénétrer encore plus profondément. J’entends ses halètements suggestifs mais je n’arrive plus à vraiment prendre mon pied, pourquoi me parle-t-elle de cette confidence ? — Mon petit cochon, je suis persuadée que tu as fantasmé plus d’une fois sur ce trio pervers, je me trompe ? demande-elle en s’arrêtant au plus profond de mon puits.— …— Tu peux répondre sans crainte, susurre-t-elle à mon oreille en se penchant sur mon dos.— …— N’aie pas peur chéri, je ne t’en veux pas. L’idée de l’interdit m’excite beaucoup et j’aime quand tu en parles.— …— Tu n’es pas très loquace ; je ne veux pas te mettre mal à l’aise, donc arrêtons là. Huguette se redresse, je ne sens plus ses gros mamelons chauds me caresser le dos, et elle commence à se retirer. Je suis abasourdi par sa demande, je ne sais pas trop quoi penser de la situation. Je m’en veux même de m’être autant dévoilé durant la soirée confidence. Les questions-réponses se bousculent à la vitesse de la lumière dans mon cerveau embrumé. La solution de me laisser aller avec Huguette, en qui j’ai entièrement confiance, est la seule qui me vient. J’attends donc que le gland factice sorte entièrement pour ouvrir la bouche : — Oui, j’y ai pensé souvent !— Oh ! Le vilain petit obsédé, tu mérites d’être puni, dit-elle en me ...

... reprenant l’arrière-train. Ses mains me tiennent la taille et ses ongles s’enfoncent dans ma peau pendant que le membre coulisse dans mon ventre. Cela fait un long moment que dure la séance mais je ne m’en lasse pas. J’aimais déjà le plaisir anal mais le fait d’être pris dans cette position tout en avouant à ma maîtresse ce secret très intime, me met presque en transe. Je ne me pose plus aucune question de moralité et réponds à ses questionnements tout en me laissant labourer les chairs. — J’aimerais sentir vos bouches sur mon sexe pendant que mes mains vous caressent.— Gros cochon ! s’exclame Huguette en augmentant la puissance de ses assauts. Et tu nous prendrais toutes les deux ?— Bien sûr.— Mmmmm, tu es vraiment très vicieux, prends ça mon cochon ! dit-elle survoltée. Tout ça pour pouvoir me punir à sa manière, quelle gourgandine. Derniers coups de reins, Madame jouit bruyamment tandis que j’ânonne et gémis en m’épanchant sur le sol. Je n’aurais jamais cru avoir un orgasme sans que l’on me touche le sexe ou les testicules. Huguette s’affale sur mon dos, transpirante et essoufflée. Sur le moment, je ne comprends pas pourquoi elle jouit aussi fortement. Elle m’embrasse dans le cou, me dit des mots doux au creux de l’oreille et me tourne la tête pour que l’on puisse s’embrasser. — Je suis heureuse que nous nous soyons rencontrés, me dit-elle, j’apprécie notre complicité, même lorsque nos envies sont inavouables. J’espère que tu as autant aimé que moi le fait que je te domine ...