Viens avec moi
Datte: 28/08/2021,
Catégories:
f,
fh,
hh,
hhh,
inconnu,
hépilé,
hsoumis,
fdomine,
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
double,
hdanus,
hgode,
hsodo,
Partouze / Groupe
attache,
tutu,
Je sais que ce texte n’est pas une performance littéraire. Il a été écrit pour une personne en particulier qui semble aimer son plaisir avant tout. J’ai voulu lui en donner pour son argent et je me suis dit que d’autres personnes pouvaient peut-être aimer ce récit. C’est la raison pour laquelle je vous le fait partager. Florane J’ai trouvé un endroit assez particulier. — Viens avec moi. On arrive sur les lieux et tu constates que l’endroit est vieux et malpropre. On y entre quand même. Les murs sont défoncés, de vieux matelas traînent dans certains coins, on peut même y voir des seringues par terre ainsi que des courroies. — Allez, ne traîne pas les pieds, suis-moi ! Nous arrivons dans une pièce où il y a même des chaînes et un poteau. Tu me vois venir et tu me souris. Oh, si tu savais comme tu as bien raison ! — Viens, que je t’attache. J’ouvre mon sac et en sors des cordes que j’attache aux chaînes puis à tes mains, ensuite je t’attache les pieds. Tous tes membres sont attachés séparément pour te donner un peu de latitude. — Je suis certaine que tu es excité, est-ce le cas ? Je vais voir ça ! Il ne m’en faut pas plus pour défaire ta ceinture et ton pantalon pour ensuite les glisser ainsi que ton slip à la hauteur de tes genoux. — Regarde-moi cette belle bête bien dressée. Je vois que ça t’excite hein ? Je ne suis pas surprise et je suis certaine que tu es ravi d’être à ma merci ! Tu me regardes sans parler et tu sembles encore plus excité. — Tu aimerais que je te suce, ...
... que je te fasse jouir, hein ? Je m’agenouille et effleure ton sexe de ma langue, tu me regardes, je fais de même et je sens la fièvre s’installer dans ton corps. Je continue l’exploration de ton sexe sur sa longueur. Je lèche tes couilles à grands coups de langue, puis remonte la bête pour la posséder dans ma bouche. Je t’avale en profondeur pendant que je masse tes couilles. Tu as assez d’aisance avec les cordes pour me maintenir la tête sur ton pieu. Tu oses même te propulser dans ma cavité buccale plus profondément que je ne peux te prendre ; j’étouffe, mais je ne dis mot. Je me relève et retrousse ma jupe pour enlever ma petite culotte, je m’approche pour te la faire humer, pour imprégner mes odeurs jusqu’au fin fond de ta mémoire. Je te tourne le dos pour aller au poteau, tu en profites pour me toucher, pour essayer de m’enfiler ta bite, mais voilà que je raccourcis les cordes. Tes mains sont rivées aux petites chaînes du poteau, il ne te reste que six centimètres de jeu. Je me retourne, te regarde et souris. Je m’approche, retrousse ma jupe et écarte les jambes pour venir coincer ton gros sexe le long de ma vulve. — Dis, mon Lapin, tu veux bouger du bassin ? Tu coulisses le long de ma chatte, saluant mon clitoris au passage, tu le fais grossir à chaque mouvement. C’est divinement érotique et je décide de me retourner et m’appuyer sur le poteau. Je penche mon dos pour t’offrir ma chatte assoiffée et aussitôt, tu plantes ton sexe dans mon antre ruisselant. Je me masturbe ...