1. LA VOISINE DU DESSUS


    Datte: 16/11/2017, Catégories: Première fois Masturbation Inceste / Tabou

    La voisine de l’étage du dessus est une femme agréable. 45 ans, mince, voire maigre 1m69 pour 45kgs, brune, de petits seins. Elle est toujours souriante et discrète. Son mari est un collègue de travail. Bref c’est ma voisine et je ne l’ai jamais regardée autrement, car d’une part c’était la femme de mon collègue et que d’autre part son comportement ou ses tenues, bien que coquettes, ne m’ont incité à imaginer quoique ce soit.Tous les étés ma femme partait en vacances avec les enfants, chez ses parents ou dans la famille, je la rejoignais pendant trois semaines.Un été, alors que j’étais seul, ma voisine, que j’appellerai ici Anaïs, me propose de l’accompagner à un spectacle. Son mari ne veut pas y aller et elle n’a pas envie de s’y rendre seule. Ça m’intéresse et nous voilà partis. Je suis ravi, mais n’ai franchement aucune arrière-pensée.Nous prenons un verre à l’entracte où nous parlons de tout et de rien, et à la fin du spectacle nous rentrons directement, car il faut travailler le lendemain.Alors que je m’apprête à rentrer dans la résidence, Anaïs me dit :-ne t’arrêtes pas, continues, il faut que je te dise quelque chose.Je m’exécute et me gare sur un parking 3 kilomètres plus loin.Le moteur coupé, je demande à Anaïs ce qu’elle a à me dire.Elle hésite et finit par me dire : - rien, enfin, je ne peux pas te le dire. Je ne sais pas pourquoi je t’ai dit ça. Excuses moi.Je lui demande si c’est quelque chose de grave et elle me dit que non.Nous rentrons chez nous après une ...
    ... bonne soirée.Je reste tout de même interrogatif sur ce qu’elle pouvait bien avoir à me dire. Si je devais décrire Anaïs en deux mots je dirai jolie sainte nitouche, donc je ne pensais à rien de sexuel.Un mois environ s’est écoulé quand Anaïs me demande de la retrouver sur un parking, car elle veut me parler.Me voilà donc au rendez-vous. Là je me dis qu’il y a du sexe peut être possible. Anaïs arrive, le parking est désert et il fait quasiment nuit. Elle me rejoint dans ma voiture et je constate qu’elle porte une jupe plutôt courte, mais cela lui arrive, donc…..Nous nous embrassons sur la joue, mais le second baiser glisse en bordure des lèvres.- Ce que je veux te dire est pas facile, me lance Anaïs. J’ai peur d’être ridicule.- Vas y lâche toi, rien n’est ridicule. Et pour l’encourager, je pose ma main sur sa jambe, juste au-dessus du genou. Pas de mouvement de recul, c’est plutôt bon signe.- Je sais pas me dit-elle avec son petit air de sainte nitouche.- Mais vas y t’as peur de quoi ?Dans le même temps ma main remonte vers le haut de la cuisse. Plus je monte, plus je vois ses cuisses s’ouvrir. Sa peu est douce, cette situation m’excite énormément. Je bande comme un fou. Ma main est remontée suffisamment haut pour ressentir la chaleur de sa vulve. Elle a fermé les yeux, ne dit rien et je la sens respirer de plus en plus vite. Mes doigts sont maintenant au contact de sa culotte et je constate qu’elle est bien trempée.Maintenant j’en suis sûr, la douve et timide Anaïs n’a qu’une ...
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