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L antichambre de l amour
Datte: 28/08/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois
... J'eus toute la nuit mon divin polonais. Nous dormîmes peu. J'avais dégoté un bon coup. Il se rechargeait indéfiniment. Il avait la technique et le coup de rein idoine. Il pratiquait en fait pas mal les salopes en mon genre.Pour une fois je n'avais point à gérer le genre minet et empoté. Nous baisâmes au sens noble. Cette queue longue et puissante était un régal en ma bouche. Je l’accueillais tantôt dans la moule tantôt dans le cul. Me moquant je dis à mon beau Casimir que dorénavant je défendrais le plombier ou le travailleur détaché polonais. Nous rîmes. Nous songions à la tête d'Armand après qu'il eût imaginé cette nuit de délices. Casimir qui revint la nuit suivante me confirma que son patron l'avait boudé le long de la journée. Il lui fut confirmé qu'il pouvait partir au plus tôt.Armand n'était pas mécontent de se débarrasser d'un rival. Il m'annonça avec triomphe que la voiture était prête et qu'il m'avait à cet égard fait maintes fleurs. Bref je lui étais redevable. Je tentais bien de me défiler invoquant le retour du mari et le départ ensuite sur la côte. Il me fixa à cet instant durement. Il proféra entre les dents : « Je ne te demande qu’une nuit ce dans ton lit. » Référence explicite à ma récente hospitalité. Pouvais-je éluder et m'esquiver ? Il me fit observer une ristourne sur les pièces détachées. Je le remerciais et acceptais de boire son café.A cette heure tardive l'atelier était désert. La chaleur était lourde et par trop infernale. Je portais toujours ma ...
... mini jupe. Il s'autorisa soudain à passer dessous une main cochonne. En d'autres circonstances j'eus répliqué par une gifle mais emplie d'un sang froid je mesurais l'importance de la parole donnée. Je lui laissais me caresser le cul. Comme souvent la chose me suscitât un plaisir irrépressible. Je résiste difficilement à cet endroit à une main d'homme quelqu'elle soit. Bref peu après accroupie dans la pénombre, je le suçais.Fort de cette victoire il obtint de passer dès ce soir après 20H00 . J'acceptais comme on se débarrasse d'une corvée. En fait j'étais heureuse d’apprendre qu'en septembre il reprendrait pour six mois mon Casimir. Cette perspective me transportant de bonheur, j'étais prête à tout accepter. J'étais trop consciente par ailleurs que mon comportement à l’égard d'Armand le disposerait mieux celui-ci pour mon cher Casimir. Je me serais voulu de nuire à ce dernier. J'étais prête à faire la putain d'un soir pour lui. Ce n'était pas la première fois que je faisais cela.Ainsi eus-je cette nuit dans la carrure de ma porte non pas le lumineux Apollon mais le vulgaire Vulcain, intercesseur nécessaire. Heureusement l'obscurité propice me cacha ces détails disgracieux pour n'éprouver que la chair grasse ,veule et poilue d'un mâle. En cela je trouvais mon compte. Je n'ai jamais dédaigné la crasse d'un ouvrier. La bourgeoise que je suis goûte d'être culbutée par le manant. Autant je jouis de m'abaisser à lui. Autant je flatte son plaisir de souiller une femme d'un milieu ...