1. Ma tante de 45 ans est sublime (10)


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... n’en fallut pas plus. Mes coups de reins dans le cul brulant de ma complice s’accélèrent. Mon sexe se promenant désormais dans cet orifice si étroit au début. Les soupirs de Chantal s’estompèrent, pour prendre place à de larges gémissements sans retenue de sa part. Je sentis ma tante se relâcher, son sphincter se détendre. Ce canal me donna des sensations vertigineuses. Plus délicat à dominer, ma position sur Chantal me donnait un avantage certain. De par cette position, j’entrai plus profondément en elle avec plus d’aisance. Chantal était aux anges. Je commençai à ne plus à être maitre de mes émotions. Chantal me saisit les bras et me les serra avec force. Je sentis que son orgasme était imminent, aussi je conservai ma cadence. — Jean, je n’en peux plus. — Dis-moi quand tu es prête. lui dis-je avec un rythme devenu féroce. — Encore mon Jean ! me dit-Chantal en fermant les yeux. Je fus en nage, ma belle conquête aussi. Notre accouplement fut digne d’un porno (!). Je sodomisai ma tante sans douceur, je rentrai en elle par des coups brusques et précis. Elle en raffola en clamant sa jouissance. uyhullbw — Jean ! je viens mon amour ! — Viens ma douce. — Oui je jouis en toi, c’est merveilleux de te le dire. — Continue de jouir ma douce Chantal. Ces mots me sublimèrent, mes mains enveloppèrent les fesses ...
    ... de ma tante, comme si elle fut à moi. Je la possédai toute entière et mon sexe s’empara de la jouissance de Chantal. Je fus dans les astres. Telle une constellation, le corps de ma tante devint mon équateur céleste. Je parsemai d’étoiles son corps venu d’ailleurs. Ma jouissance me porta à un point que Chantal s’agrippa à moi, en collant ses lèvres aux miennes dans un baiser dépassant le raisonnable. Qu’importe si nos mots dépassèrent nos pensées... — Je t’aime Jean, j’aurais voulu un enfant avec toi. — Chantal, j’oublie qui tu es; tu es la femme que j’aime. — C’est fou comme je suis bien avec toi. — Et moi, j’adore te faire jouir, te voir jouir, t’entendre jouir. — Oh jean, toi tu sais me donner du plaisir, tu me connais par cœur ! Je n’aime guère employer ce type de vocabulaire. Mais cette fois, il faut bien reconnaitre que ma tante et moi avions baisé comme des bêtes. Nous nous étions lâchés mutuellement. Nos sentiments étaient forts l’un envers l’autre. Il fallut mettre un terme à notre étreinte. Chantal alla prendre une douche. Je la rejoignis dans la foulée. Une fois dans le salon et nos émotions passées, nous nous installâmes sur la terrasse pour reprendre un café. Chantal posa ses pieds délicieux sur mes cuisses. Je m’empressai de les câliner. Nous entamâmes une conversation sur notre avenir... 
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