1. Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise (1)


    Datte: 29/08/2021, Catégories: Erotique,

    ... mettre en condition. Sa défunte femme Cécile, qui était aussi portée sur le sexe que lui, n’hésitait pas à utiliser quantité d’artifice. Il y avait des gels lubrifiants et anesthésiants pour faciliter les sodomies difficiles, des lotions parfumées pour rendre plus agréables des rapports buccaux, mais il y avait surtout une crème pour le visage. Cette crème n’était pas comme les autres. Produit par une entreprise pharmaceutique spécialisée que ceux qui ont lu « Un arrangement très particulier" et "Anaëlle, ou l’histoire d’une domestique » (du même auteur) reconnaitront peut-être, contenait deux composantes intéressantes. La première : un léger aphrodisiaque apportant au quotidien une sensation de bien-être et une légère excitation. La deuxième : les principes actifs de la lactation mammaire. Par utilisation quotidienne, cette crème apportait à la fois un sentiment de plénitude au quotidien et provoquait aussi, après plusieurs semaines d’utilisation, des montées de lait chez la femme ainsi qu’une augmentation naturelle de la poitrine. Jean-Luc se souvenait des seins gonflés de son défunte épouse. Ils étaient sources de nombreux jeux érotiques. Il décida alors de donner à Sharon les pots de crème qu’il lui restait, autant qu’ils servent à quelqu’un d’autant qu’ils coutaient une blinde. Avec cette crème, il comptait la mettre plus à l’aise pour mieux la préparer et la rendre plus réceptive pour la suite grâce à cette sensation de plénitude qu’elle apportait et une jolie ...
    ... silhouette grâce à ses effets sur la poitrine. Et puis même si il n’arrive à rien avec elle, au moins il pourrait la regarder sur ses caméras comme une naïade avec des gros seins. — Sharon ? — Oui monsieur ? — On dirait que vous avez comme des petites rougeurs sur le visage. C’est normal ? — Des rougeurs ? Je ne vois rien dit-elle en se regardant dans le miroir. — Moi je les vois. Ma femme en avait eu aussi et elle avait utilisé une crème pour ça. Il m’en reste quelques pots d’ailleurs. Il serait bon que vous les utilisiez. — Je veux bien mais j’ai beau regarder, je ne vois rien. — C’est vrai qu’on ne voit presque rien mais je vous assure qu’il y en a et si vous ne faites rien, vous risquez d’avoir des plaques. Après je ne vous y oblige pas. Vous faites ce que vous voulez. — Merci monsieur. Je vais suivre votre conseil. — A la bonne heure ! dit-il avant de repartir dans son bureau l’air satisfait, imaginant déjà la vue de cette jolie demoiselle avec deux gros obus. Sur les vidéos de la salle de bain, les jours suivants, Jean-Luc voyait Sharon appliquer avec soin sa crème qu’il lui avait donné. Il espérait très bientôt en voire les effets. Bien, maintenant étape suivante : satisfaire sa curiosité. Pour l’avoir observé, Jean-Luc avait remarqué que, quand elle faisait le ménage dans son bureau, elle était intriguée par la petite pièce derrière qui lui était interdite. Cette pièce c’était la tanière de monsieur. C’était comme un salon privatif avec un fauteuil en cuir, un home cinéma ...
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