1. Retrouvailles


    Datte: 16/11/2017, Catégories: fh, fhh, couple, cadeau, grossexe, sexshop, amour, Oral fdanus, jouet, conte, policier, québec,

    ... trônait un grand fauteuil en cuir qui, pour l’instant, était retourné et, donc, je ne voyais que la tête. L’homme devait être grand et noir. J’allai m’annoncer quand il se retourna pour me parler : — Bonjour, vous devez être… Jessie ? C’est avec joie que je reconnus l’homme qui, il y a quelques années, avait été mon amant. Son corps noir comme l’ébène était toujours aussi beau et son regard aussi doux que je m’en rappelais. Il se leva de son siège, contourna son bureau et vint se poster devant moi. Le silence qui régnait était si intense que tout ce que l’on pouvait entendre, c’était le battement des chamades de nos deux cœurs. Soudain, il s’élança vers moi. Sa bouche se faisait douce et pressante à la fois et ses mains caressaient mon dos, mes épaules, ma poitrine et elles étaient aussi légères que des plumes d’oiseau. J’avais chaud, mais mon corps frissonnait. Mes mains partirent elles aussi à la découverte du corps de mon amant enfin retrouvé. Tout sur lui et en lui m’avait manqué. Je caressai son torse, son dos et ses épaules. Soudain, il me souleva et me déposa sur son bureau pour ensuite retrousser ma jupe. Il me lança un regard malicieux lorsqu’il vit que je ne portais pas de culotte. Il sortit son sexe et me chuchota : — Ne t’inquiète pas mon amour. Je vais y aller doucement. Ça fait tellement longtemps. Allonge-toi. Je m’allongeai sur son bureau et Patrick commença par masser mes cuisses en les écartant puis, sa langue se mit à l’œuvre. Sa langue titilla mon ...
    ... clitoris me faisant me tortiller de tous les côtés. Comme j’allais jouir, il s’arrêta et se redressa pour me demander : — Tu es prête ? J’acquiesçai et il me pénétra tout en douceur. J’en sentis chaque centimètre, jusqu’à ce que le sente au plus profond de moi. — Est-ce que ça va ? me demanda-t-il. Je fis signe que oui et entourai sa taille de mes jambes. Il prit un rythme lent pour commencer et accéléra au bout de quelques minutes. Chaque coup de rein qu’il me donnait semblait m’emporter plus haut que le précédent et je devais me mordre la lèvre pour étouffer mes gémissements, de peur qu’on ne nous entende. Dans un ultime coup de rein, je jouis intensément ce qui ne manqua pas de déclencher sa jouissance. Il lâcha de longs jets dans ma chatte. Par la suite, il me souleva et s’installa dans son fauteuil pour ensuite me déposer sur lui. — Tu m’as tellement manqué, me dit-il en me serrant contre lui.— Toi aussi tu m’as manqué… Je n’aurais jamais dû te laisser partir. Mon petit copain et moi, on s’est laissés quelques jours plus tard. Je n’arrêtais pas de penser à toi. Je n’avais aucun moyen de te prévenir que c’était terminé et que tu pouvais revenir. Promets-moi que l’on ne se quittera plus jamais.— Plus jamais ! C’est une promesse. Nous nous embrassâmes tendrement et nous fûmes interrompus par des coups timides frappés à la porte. — Monsieur ? demanda la réceptionniste. Votre prochain candidat est arrivé.— Renvoyez-le ! J’ai trouvé la personne qu’il me faut.— Mais monsieur…— ...
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