Service militaire. - Histoires de Sexe

Service militaire.

Nous venions d'être incorporé pour "subir" le service militaire. Coupe de cheveux, essais des tenues, règlements etc...
C'est par chambre de 4 que nous nous retrouvions le soir pour dormir, nous reposer. Le week-end nous allions rejoindre nos familles mais Christophe et moi habitions trop loin pour les rejoindre. Donc nous nous retrouvions tous les deux pour les deux jours d'inactivités. Heureusement nous avions des jeux communs comme les dames et le échecs. Le foyer restait ouvert et nous pouvions prendre des repas à la cantine. Les soirées télé ne nous plaisaient pas particulièrement, ce qui fait que nous rejoignions notre chambrée assez tôt. Christophe pour le lit superposé occupait le lit du haut et moi celui du bas. Décidés d'aller nous coucher je pris les devants pour aller prendre ma douche le premier et comme de coutume je l'enfilais entre les draps nu. Christophe me succéda et il revint en sifflant la serviette autour de la taille. Il posa sa trousse sur son lit m'offrant la vue du bas de son corps drapé
dans son drap de bain. En s'agitant le pan de son drap s'écartait et je pouvais voir son sexe ballottant.   C'était très excitant et je m’aperçus qu'aussitôt que ma queue prenait de la dimension. Je ne savait pas ce qu'il faisait mais ça durait et le spectacle de plus en plus excitant. N'y pouvant plus je passais mon bras derrière les genoux de Christophe qui dut s'accrocher à son lit pour ne pas tomber en arrière.
- Que fais-tu ? me cria t-il.
- Malgré toi, tu ...

... m'offres un spectacle ravissant.
- Tu ne m'avais pas dit que tu étais pédé !
- Pédé ou pas pédé, je veux te sucer ta belle petite queue.
- Non, ne fais pas ça.
- Je ne vais pas m'en priver.
De l'autre main je dénoue la serviette qui tombe à ses pieds. Sa queue avait eu le temps de se redresser et je lui fit remarquer.
 - Tu bandes, c'est génial !
Il ne disais plus rien et me laissa opérer. Je gobais son sexe qui finit par prendre toute son ampleur dans ma bouche. Je le léchais, le suçais, l'aspirais et son bassin commença à onduler. Il gémissait et ne se plaignais plus. Je maintenais ma prise et lentement la relâchais. Sa tige glissait bien entre mes lèvres. Son gland bien rond râpait son frein sur ma langue c'était délicieux. Sa queue s'enfonçait à fond dans ma gorge puis se retirait. Christophe ne se rebellait plus et son refus se transforma en plaisir volontaire. Une de mes mains tâtait ses petites boules lisses. Je pompais se dard avec un tel plaisir qu'il ne pouvait qu'apprécier. Je l'entendis gémir, souffler, échapper ds petits cris...puis plusieurs saccades de jus sortir par son méat et j'aspirais tout avec gourmandise. Je ralentissais ma turlutte, sa queue perdit peu à peu de sa raideur et je pinçais les lèvres pour n'en perdre aucune goutte. J'avais dégluti tout son nectar et je pouvais le relâcher complètement.  Il resta un moment immobile, n'en revenant pas d'avoir joui opportunément dans cette piaule de bidasses. Il s'éloigna de deux pas de notre lit :
- Tu ...